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Je suis avec toi !

Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. Matthieu 28:20

Bien-aimés dans le Seigneur, Jésus nous rappelle ce jour que nous ne sommes pas seuls, car IL(Jésus) est avec nous!

IL est le Bon Berger qui ne laisse jamais Ses brébis à la perdition !

Et toi tu es Sa brébis; Comme une brébis entre les bras du berger, ainsi tu es entre le bras de Jésus !Ainsi, il est écrit : « Car je suis l’Éternel, ton Dieu, Qui fortifie ta droite, Qui te dis: Ne crains rien, Je viens à ton secours. » (Esaïe 41:13)

Ne crains, tu n’es pas seul, Jésus est là avec toi, en toi, autour de toi!

#Que_Dieu_vous_bénisse !

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SELON LA BIBLE, comment nous devons aimé dieu …

Posé la question aux gens aimez-vous Dieu ? Personne ne vous répondra non, car tout le monde croit aimer Dieu.

Beaucoup des personnes pensent aiment Dieu parce qu’ils chantent et crie à longueur de journée leur amour à Dieu, et sentent des frissons sur leurs corps.

Certaines d’autres pensent aiment Dieu parce qu’il prie beaucoup ou parce qu’ils sont régulier à l’église ou … aime Dieu ne pas une activité mais une vie. Comme nous l’avons dit nous devons aimer Dieu non pas selon nous mais selon lui-même, nous devons l’aimé comme il a montré comment nous devons l’aimé, et la bible nous éclaire sur ce sujet en nous révélant ce quoi aimer Dieu.

Jean 14:21 Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me ferai connaître à lui.

<<Celui qui retient mes commandements et leur obéit, voilà celui qui m’aime. Mon Père aimera celui qui m’aime; je l’aimerai aussi et je me montrerai à lui. >> FC

Aime Dieu consiste en deux choses :

Premièrement : avoir ou connaitre sa parole;

Qui veut dire s’attacher, adhérer, s’accrocher à sa parole. La meilleure manière de connaitre cette parole ce de la médité, afin de trouve à l’intérieur la volonté de celui qu’on veut plaire et se laissant transformé par elle.

Deuxièmement : garde ou obéir à cette parole;

S’occuper soigneusement à pratiquer, prendre soin d’observé. (on ne peut qu’observe ce à quoi on s’attacher et on adhérer).

Jean 14:15 Si vous m’aimez, gardez mes commandements.On ne peut s’occuper soigneusement a pratiqué que ceux qu’on connait et dont on a adhéré.

Aime Dieu ce faire de sa parole de Dieu (c’est à dire de sa volonté), la base de notre conduite. Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur.Hébreux 4:12

La parole de Dieu nous montre comment Dieu aime, nous donne le modèle et comment aimer Dieu et nos proches. Cela ne doit pas seulement se limité à une connaissance théorique mais elle doit nous pousse a manifesté cette nature en nous, et selon Dieu.

Jean 14:24 La personne qui ne m’aime pas n’obéit pas à mes paroles. Ce que je vous dis maintenant ne vient pas de moi, mais cela vient du Père qui m’a envoyé. BPV

Sincèrement, aimes-tu Dieu comme il veut qu’on l’aime ?

Au-delà de sentiment, des frissons; sa parole est-elle la base de tes actions.

Que fais-tu, peut être que tu n’aimes pas, mais dont tu fais simplement parce que la bible le dit, tu le fais ?

Ou une chose que tu ne fais pas, et simplement parce que tu veux plaire à Dieu.

et si aujourd’hui tu te decidé d’aime Dieu selon lui, si tu te decidé de l’aimé selon ceux qu’il attend de toi …

Quelqu’un a dit : ‘’ Aimer Dieu de tout son cœur de toute son âme, de toute sa pensée, c’est l’aimer de toutes les puissances de l’être moral; de sorte que toutes les facultés de l’âme, affections, pensées, volonté, désirs, soient pénétrées dominées par cet amour, qui devient ainsi le mobile unique de toutes les actions, de toute la vie. ‘’

#Que_Dieu_vous_bénisse !

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l’astrologie, temoignage d’un ancien pratiquant

L’ex-professeur Petelle, qui rédigeait une chronique d’astrologie dans l’hebdomadaire bien connu au Québec « Echos-Vedette », a accordé une entrevue au rédacteur de Message de Vérité. Ces propos très révélateurs, sur ce sujet d’actualité, sauront sans doute intéresser nos lecteurs. 


Monsieur Petelle, vous êtes Québécois ? 
Oui, pure laine! Je suis né à Montréal de parents catholiques romains. Lorsque j’avais dix ans, ma famille est allée s’établir à Ste-Thérèse, une petite ville au nord de Montréal. Après une année de cours classique, au séminaire de Ste-Thérèse, j’optai pour une instruction plus populaire. Assez tôt, je me suis « tanné » des études et me suis lancé sur le marché du travail. 

Pourriez-vous nous dire brièvement de quel milieu vous venez ?

Mon père était engagé dans le syndicalisme à l’usine d’avions Canadair. Il est décédé quand j’avais quatorze ans. C’était un homme remarquable et qui inspirait le respect malgré sa petite taille… il n’avait que cinq pieds. Mais c’était un homme de grande moralité ayant su m’inculquer des principes qui m’ont certainement influencé. 

Mon père savait parler aux foules, et, dans les milieux politiques des années quarante, il fut très remarqué. Il mourut sans me laisser d’héritage, sinon le sou- venir d’un homme qui fut honnête jusqu’au bout.

 Qu’est-ce qui a occupé votre jeunesse ? 

Mon intérêt pour les arts, le théâtre surtout, m’a amené à m’inscrire au Conservatoire d’art dramatique. Par deux fois j’ai subi les examens d’admission… les deux fois j’ai été refusé.

Le directeur me fit comprendre que ce n’était pas une question de talent, mais plutôt un manque de discipline et de souplesse.

Vers la drogue !

 Après plusieurs tentatives dans le domaine des arts, peinture, théâtre, cinéma, poésie, chanson, et n’ayant comme résultats que des demi-réussites, je commençai lentement à perdre de l’intérêt pour toutes choses, ce qui me conduisit dans le monde de la drogue. 

Voulez-vous parler de la drogue simplement comme moyen d’oublier votre insatisfaction ou comme source de revenu ? 
 

Aussi curieux que cela puisse sembler à quelqu’un qui consomme de la drogue, j’étais de ceux qui ont en horreur les « pushers » (ceux qui font le commerce de la drogue). 
 A cette époque, je n’aurais jamais admis que je prenais de la drogue pour étouffer mon manque de satisfaction. D’ailleurs, l’avoir admis eût été une raison suffisante pour que je cesse d’en consommer. 

Qu’est-ce qui vous a conduit à l’astrologie ? 

Tout au cours de l’histoire, les drogues furent utilisées lors de cérémonies à caractère occulte. Il n’est pas surprenant que de nos jours les « fumeurs de pot » et les consommateurs de L.S.D. soient si friands de sciences occultes.

L’astrologie

L’astrologie étant la mère de ces sciences – la plus subtile, parce que soi-disant scientifique -, elle rencontre un intérêt qui va sans cesse grandissant. 
Durant trois années, j’étudiai attentivement tout ce qui a trait à l’astrologie, du simple horoscope au diagnostique médical, de la prédiction d’événements à la psychanalyse. Mais, tout au cours de ces études, une chose m’échappait:

Comment pouvait-il exister un rapport calculable entre la position des planètes, lors de la naissance d’un individu, et son comportement tout au cours de sa vie ? 


Bien sûr, je serais fou d’affirmer qu’il n’existe aucune relation entre les divers composants de notre univers et le comportement des individus. Mais je sais aujourd’hui que c’est un mensonge que de prétendre connaître et mesurer cette relation. Oui oserait répondre « oui » à cette question posée par Dieu à Job: « Connais-tu les lois du ciel, ou règles-tu l’action qu’il exerce sur la terre ?.(Job 38 : 33, version synodale).

Prédictions exactes

 Vous est-il arrivé de faire des prédictions qui se sont avérées exactes ? 

Bien sûr! …et chaque fois j’en étais moi-même étonné. Je n’arrivais pas à comprendre la relation entre des dizaines d’arcs entremêlés, qui forment des figures géométriques sur une carte du ciel, et la réalité si terre à terre de la vie d’une personne. 
Aujourd’hui, l’énigme est élucidée. Je sais que Satan connaît l’avenir. C’est lui qui me révélait des événements à venir, au moyen de la carte du ciel, comme il le fait à d’autres par la boule de cristal, les cartes, le thé ou le pendule. La véritable puissance n’est pas dans ces objets, ni dans ceux qui les utilisent, mais cette puissance surnaturelle vient de Satan.

Les fruits de cette puissance

Pourquoi dites-vous que cette puissance vient de Satan ? 

D’abord l’angoisse de ceux qui venaient me consulter en est une preuve. L’angoisse ne vient pas de Dieu, puisqu’au contraire il apporte la paix. L’homme qui vit en communion avec Dieu n’est pas angoissé face au futur, car il se confie entièrement à son Sauveur et Maître, Jésus-Christ. 
Ensuite, cette soif toujours grandissante de connaître le lendemain. Une grande partie de ma clientèle ne se contentait pas d’une visite chez moi: c’était la visite chez une tireuse de cartes, chez un voyant et même chez un autre astrologue pour pouvoir comparer les prédictions.

Le problème de l’insatisfaction était toujours là. Et l’insatisfaction aussi ne vient pas de Dieu. Par dessus tout, la dépendance psychologique de ceux qui me consultaient démontre à quel point l’astrologie est néfaste.

Que voulez-vous dire exactement par dépendance psychologique ? 

Je veux dire que, pour ceux qui me consultaient, à quoi servait-il de faire des efforts puisque tout est prévu d’avance ?

Bientôt le laisser-aller prenait le dessus et je voyais ces personnes torturées et déchirées parce que, finalement, aucun problème n’était résolu. 
 A l’avance, ces personnes souffraient et s’apitoyaient sur leur sort au sujet d’épreuves qu’elles n’avaient pas encore subies. 
 Moi-même, à cette époque, devais chaque jour, devant chaque événement, repasser de mémoire ma carte du ciel afin d’évaluer mes décisions. J’étais esclave de mes prédictions et de mes interprétations. 
 Aujourd’hui,

je n’ai plus besoin de sonder le futur, car je comprends toute la puissance de la foi à un niveau pratique. Les deux versets de la Bible que je veux vous citer résonnent dans mon coeur comme une réponse à donner à tous ceux qui se bousculent dans les bureaux d’astrologues et de diseuses de bonne aventure :

« Qui de vous par ses inquiétudes peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? » et « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui- même. A chaque jour suffit sa peine » (Mat th. 6: 26 et 34).

Contact avec la Bible

Comment êtes-vous entré en contact avec la Bible ? 

A la fin de l’année 71, un de mes bons amis s’est converti à Jésus-Christ et je fus très étonné de voir la transformation qui s’opéra en lui. Tranquillement, je commençai à feuilleter la Bible, prenant ce qui faisait mon affaire et laissant de côté le reste. Une chose est certaine: malgré mon refus d’admettre ce que je lisais, je savais que c’était la seule et unique vérité. 


Qu’est-ce qui vous a amené à quitter l’astrologie ? 

Premièrement, après ce contact avec la Bible, Parole de Vérité, je constatai rapidement mon impuissance face à tous ceux qui, angoissés, entraient dans mon bureau, en quête d’une réponse.

Voir ressortir ces gens-là, avec un certain sourire, mêlé d’une profonde incertitude, me faisait réfléchir en me montrant clairement que je ne pouvais que maquiller les problèmes sans y apporter une véritable solution.

Le Dr Koch et Esaïe

Ensuite, j’assistai à une conférence chrétienne sur les sciences occultes à la lumière du Christ, donnée à Montréal par un chrétien éminent, le docteur Kurt Koch.

Je me levai devant l’auditoire et, avec une fierté mêlée d’effronterie, j’eus l’audace de dire:

« Je suis chrétien et astrologue! ».

Voici la réponse que me fit le docteur Koch:

« Reste donc au milieu de tes enchantements et de la multitude de tes sortilèges, auxquels tu as consacré ton travail dès ta jeunesse; peut-être pourras-tu en tirer profit; peut-être deviendras-tu redoutable. Tu t’es fatigué à force de consulter; qu’ils se lèvent donc et qu’ils te sauvent, ceux qui connaissent le ciel, qui observent les astres, qui annoncent d’après les nouvelles lunes ce qui doit arriver ! Voici, ils sont comme de la paille, le feu les consume, ils ne sauveront pas leur vie des flammes: ce ne sera pas du charbon dont on se chauffe, ni un feu auprès duquel on s’assied. Tel sera le sort de ceux que tu te fatiguais à consulter. Et ceux avec qui tu as trafiqué dès ta jeunesse se disperseront chacun de son côté: il n’y aura personne qui vienne à ton secours. (Esaïe 47: 12-15).

Les luttes

 J’imagine que c’est à ce moment-là que vous avez abandonné l’astrologie ?   

Non, malheureusement, j’étais trop fier pour accepter aussi facilement que j’étais dans le mensonge. Un peu plus tard, au mois de mai 1972, je fus invité à participer au premier Salon international des Sciences occultes, à Montréal.

J’y ai vu des choses qui m’ont profondément dégoûté; notamment une espèce de fakir, qui prenait son enfant d’environ un an, le couchait sur un lit de clous, l’en retirait en disant: « Regardez, il n’a pas de mal! ». 

Au même Salon, j’ai reçu en consultation deux religieuses, qui venaient me voir soi-disant par curiosité, et à qui je fis des révélations étonnantes. Je les quittai en leur faisant de sévères reproches, leur disant que la Parole de Dieu leur défendait de rencontrer des individus de mon espèce. Mais, le plus fort, fut la rencontre avec un prêtre catholique qui m’affirmait se servir de la boule de cristal pour résoudre certains problèmes de gens qui venaient le consulter. « Ça m’aide à me concentrer! », me disait-il. 

J’y ai aussi vu un pseudo-paralytique, que je connaissais, se faire guérir par le plus beau spécimen de charlatan qu’il m’ait été donné de voir . 

Quelle a été votre réaction à la suite de ces événements ? 
Bien sûr qu’à ce moment-là, la vérité contenue dans les Saintes Ecritures me troublait. Je ne pouvais prétendre adhérer à cette Vérité et participer au même moment à un mensonge aussi écoeurant que celui que je venais de vivre.

Il me fallait choisir, et vite… si non, il ne me restait plus que le suicide.

Le choix, oui

Ou bien je choisissais la vérité totale, jusqu’au bout, que m’offrait Jésus, ou bien je mettais fin à mes jours; car je ne pouvais, une minute de plus, participer à cette immonde foire qu’est la société sans Dieu. Mais personne ne pouvait faire ce choix à ma place.

Et personne ne pouvait sortir de cette boue à ma place. Il me fallait dire oui au Seigneur Jésus, et un oui sans restriction. Il fallait m’en remettre à Lui une fois pour toutes, et à Lui seul, l’accepter comme Sauveur et Maître absolu de ma vie. Ce « oui », je l’ai dit le 28 mai 1972.

La Bible condamne

 L’astrologie et le christianisme authentique sont ,donc incompatibles ?  

Certainement! La Bible condamne ) l’astrologie. Dieu lui-même dit:

Qu’on ne trouve chez toi personne… qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel… Tu seras entièrement à l’Eternel ton Dieu » (Deutéronome 18: 9-13).

Croyez-moi, j’ai étudié les sciences occultes sous plusieurs aspects; j’ai côtoyé des gens qui pratiquent ces prétendues sciences, j’ai vu des charlatans aussi bien que des gens sincères qui ignorent les dangers que représentent ces pratiques. Voilà pourquoi j’aimerais citer encore quelques versets bibliques, qui sont si clairs, et qui devraient éloigner quiconque ne réalise pas le danger encouru par ces pratiques:

« Examinez ce qui est agréable au Seigneur; ne prenez point part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les. Car il est honteux de dire ce qu’ils font en secret; mais tout ce qui est condamné est manifesté par la lumière, car tout ce qui est manifesté est lumière. C’est pour cela qu’il est dit : Réveille-toi, toi qui dors, relève-toi d’entre les morts, et Christ t’éclairera » (Ephésiens 5: 10-14). Et encore: « Ne touchez pas à ce qui est impur et je vous accueillerai, dit le Seigneur » (2 Corinthiens 6: 17).

Les conseils d’Y. Petelle

Quels conseils avez-vous à donner à ceux qui ont eu affaire avec les sciences occultes ?
 

Si vraiment vous voulez être en paix avec Dieu, débarrassez-vous de tout ce que vous pourriez posséder: livres, cartes, horoscopes, pendules… et surtout de vos superstitions; suivez l’exemple rapporté dans ce passage des Actes des Apôtres : « Plusieurs de ceux qui avaient cru venaient confesser et déclarer ce qu’ils avaient fait. Et un certain nombre de ceux qui avaient exercé les arts magiques, ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde: on en estima la valeur à cinquante mille pièces d’argent » (19: 18, 19).

La Bible parle

Et si vous cherchez véritablement, ouvrez la Sainte Bible. Vous y trouverez la seule et unique vérité, car Jésus lui-même dit: « MOI, JE suis LE chemin, LA vérité et LA vie » (Jean 14 : 6). Cessez vos recherches ailleurs que dans la Parole de Dieu.

Cessez une fois pour toutes de vous torturer en essayant de vous faire croire que vous avez raison lorsque votre conscience vous dit le contraire. Débarrassez-vous de vos béquilles, preuve de votre incrédulité; levez-vous et marchez par la foi dans le chemin du Seigneur Jésus.

N’entendez-vous pas sa voix qui vous dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger » ? (Matthieu 11 : 28-30). Et encore: « Vous connaîtrez LA VERITE et LA VERITE vous affranchira » (Jean 8 : 32).

Enfin, que le Saint-Esprit vous conduise ! Ce que je vous souhaite le plus, c’est de trouver la paix que le Seigneur Jésus donne gratuitement, ainsi que l’assurance d’être en sa compagnie, en joie pour l’éternité.


 Merci, Yves, pour ce témoignage

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porté sa croix

Lu 14:27 Et quiconque ne porte pas sa croix, et ne me suit pas, ne peut être mon disciple.

Vous voulez être disciple de Jésus, alors il faut que vous portiez votre croix et cela chaque jour.  Mais porter sa croix que cela veut dire ?

Nous allons expliquer cela en prenant exemple de notre maitre, car il a porté sa croix. La croix à Golgotha que Christ avait porté était l’expression de la volonté du Père, en venant à la croix Christ était venue nous sauve oui, mais il est était venue avant tout faire la volonté de son Père, Et la volonté du Père était de nous sauver.

Ainsi porte sa croix veut dire reconnaitre la volonté de Dieu dans notre vie et la suivre.

Heb 10:5-7 C’est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit: Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m’as formé un corps; Tu n’as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché.

Alors j’ai dit: Voici, je viens Dans le rouleau du livre il est question de moi Pour faire, ô Dieu, ta volonté.

Jean 6:38-40 Or, la volonté de celui qui m’a envoyé, c’est que je ne perde rien de tout ce qu’il m’a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour.

La volonté de mon Père, c’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. Car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé.

La volonté de Dieu le Père pour lui était de livré sa vie en sacrifice pour le péché, la  mort de la croix. Ainsi la croix que Jésus avait portée n’était rien d’autres que la volonté de son Père. Voilà pourquoi il dit quiconque ne porte pas sa croix, et ne le suit pas, ne peut être son disciple.

La croix ce la volonté parfaite de Dieu pour ta vie, sont disciples de Christ ceux qui vivent cette volonté.

Qu’elle est la volonté de Dieu pour ta vie, ta croix ?

Sommes-nous prêts à tous affronté parce qu’on veut simplement faire la volonté de Dieu, Christ a affronté la croix a cause de la volonté du Père.

Que cherchons-nous notre propre volonté ou celui de Dieu, sa volonté est-il notre quête de chaque jour ?

  • Jésus pouvait dire « Je ne puis rien faire de moi-même: selon que j’entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. Jean 5:30 »
  • Paul savait ce qui devait se passé à Jérusalem, mais la volonté de Dieu était qu’il y parte.

Actes 21:10-14 Comme nous étions là depuis plusieurs jours, un prophète, nommé Agabus, descendit de Judée, et vint nous trouver. Il prit la ceinture de Paul, se lia les pieds et les mains, et dit: Voici ce que déclare le Saint-Esprit: L’homme à qui appartient cette ceinture, les Juifs le lieront de la même manière à Jérusalem, et le livreront entre les mains des païens.

Quand nous entendîmes cela, nous et ceux de l’endroit, nous priâmes Paul de ne pas monter à Jérusalem.

Alors il répondit: Que faites-vous, en pleurant et en me brisant le cœur? Je suis prêt, non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus.

Comme il ne se laissait pas persuader, nous n’insistâmes pas, et nous dîmes: Que la volonté du Seigneur se fasse!

porte ta croix

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le blasphème contre le Saint-Esprit, ce quoi ? avec Alfred kuen

blasphémé contre le Dieu

Beaucoup de chrétiens ont été tourmentés à l’idée qu’après une certaine faute, ils aient commis « le péché irrémissible », qui ne pourrait jamais être pardonné. Que dit l’Écriture à ce sujet ?

Le blasphème impardonnable

L’expression provient d’une parole de Jésus : « C’est pourquoi je vous dis : Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera point pardonné. Quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. » (Mat 12.31-32)

En voyant les miracles de Jésus qui l’accréditaient manifestement comme Envoyé de Dieu, les pharisiens ont attribué les guérisons et les exorcismes à Satan. Après leur avoir démontré l’illogisme d’une telle supposition (Mat 12.25,26,29) et le sens de ce signe (v. 28), Jésus les avertit des conséquences de leur mauvaise foi évidente : si, en toute connaissance de cause, ils refusent de croire en lui, en s’opposant au témoignage intérieur de l’Esprit de Dieu en eux, c’est qu’ils ont sciemment choisi de refuser la vérité. Dans son respect du libre choix de l’homme, Dieu ne peut que leur dire : « Que votre volonté soit faite ! » Ce refus est ici moins un acte ponctuel qu’un état du cœur résultant d’une opposition volontaire et persistante à la reconnaissance de la vérité.

Un refus délibéré d’accepter la grâce

L’évangéliste allemand Ernst Modersohn disait : « Le péché contre le Saint-Esprit consiste donc dans le fait que, contrairement à ce qu’on sait pertinemment, on attribue à Satan une action de l’Esprit de Dieu afin de ne pas être obligé de changer sa vie… Un signe de ce péché est un endurcissement contre l’action du Saint-Esprit en poursuivant sans vergogne son chemin dans le péché.

Celui qui a commis ce péché n’a que mépris et moqueries pour tout ce qui est divin et sacré. Celui qui reste préoccupé de son salut peut être assuré qu’il n’a pas commis ce péché… Chaque péché dont on demande le pardon sera pardonné. Mais s’endurcir contre Dieu et contre son Esprit, c’est précisément refuser d’être pardonné ; c’est ne pas demander à Dieu de pardonner ce péché — qui, par conséquent, ne peut pas être pardonné. »

Nombres 15.30 faisait déjà une distinction entre des péchés commis par inadvertance et d’autres commis « la main haute » (« délibérément ») pour lesquels il n’existait pas de sacrifice — donc pas de pardon.

Un refus de l’aide du Saint-Esprit

Luc 12.10 situe cette parole dans un autre contexte : entre un enseignement sur le rôle de l’Esprit saint comme conseiller et défenseur de ceux qui confessent le nom du Fils de Dieu (v. 8-9) et une promesse de l’aide qu’il apporte à ceux qui sont traduits devant les tribunaux afin qu’ils disent les bonnes paroles (v. 11-12).

Cela fait penser que Luc suggère l’idée que le blasphème contre le Saint-Esprit implique un refus de son aide puissante lorsqu’elle est disponible pour empêcher les disciples de le renier et, ce faisant, d’apostasier.

Si tel est le cas, le blasphème contre l’Esprit est synonyme d’apostasie, d’une répudiation délibérée et décisive de Jésus comme Seigneur. Ce n’est pas le seul passage du N.T. qui avertit contre le mal irrémédiable de l’apostasie : un autre exemple bien connu est Hébreux 6.4-6 où il est dit qu’il est impossible d’amener de nouveau des apostats à la repentance, puisqu’ils ont répudié le seul chemin du salut. Mais Luc joint à cet avertissement contre le péché impardonnable l’affirmation de Jésus qu’il y a pardon « pour tous ceux qui parlent contre le Fils de l’homme, parce que son identité réelle était voilée2 ».

Un blasphème, c’est-à-dire une insulte contre Dieu

Sidlow Baxter consacre tout un chapitre de ses Studies in Problem Texts au « péché impardonnable » (p. 117-130). Il fait remarquer d’abord que ceux qui avaient commis ce péché — ou qui étaient susceptibles de le commettre — étaient des gens moraux, c’étaient même les plus religieux d’Israël. Cela nous avertit que ce péché n’est pas un péché « crapuleux » (débauche, crime, ivrognerie, violence). Ce péché était un blasphème, c’est-à-dire une insulte contre Dieu.

La raison pour laquelle ce péché ne peut pas être pardonné, c’est qu’il procède d’une attitude déterminée de l’esprit qui s’est fermé volontairement à la lumière divine et s’est barricadé contre la vérité. Tout péché dont on se repent peut être pardonné, mais la particularité de ce péché, c’est qu’il refuse la repentance. Et, à force de refuser de se repentir, on en devient incapable. C’est par de nombreuses résistances à l’appel de Dieu que l’on s’endurcit contre ses appels et que l’on développe une attitude qui rend toute repentance impossible.

Un peu comme certains abus engendrent des maladies irréversibles. Si un fumeur invétéré, qui a entendu tous les avertissements au sujet des dangers de sa tabagie, développe un cancer des poumons, peut-il encore revenir en arrière ? Le médecin peut-il « pardonner » son cancer ? Le Saint-Esprit « convainc de péché, de justice et de jugement », mais il n’a aucun pouvoir sur ceux qui ne veulent pas se laisser convaincre. Il arrive un moment où Dieu dit : « Le peuple d’Ephraïm s’est lié aux idoles. Qu’il aille son chemin. » (Osée 4.17, Semeur)

C’est ce qui s’est passé pour le pharaon de l’Exode. Dix-huit fois, nous lisons que son cœur était endurci : neuf fois, c’est lui qui endurcit son cœur contre l’appel de Dieu, et neuf fois, Dieu endurcit son cœur. Malgré toutes les démonstrations de la puissance et de la souveraineté de Dieu, il refusa de céder à l’ordre de laisser partir le peuple d’Israël. C’est un refus qui s’apparentait au péché contre le Saint-Esprit.

Un autre exemple est celui de Saül, le premier roi d’Israël qui, malgré un excellent début, s’engagea de plus en plus sur la voie de la résistance à Dieu, s’arrogeant présomptueusement les prérogatives sacerdotales (1 Sam 13), désobéissant consciemment à Dieu (ch. 14) et mentant à Samuel (ch. 15). Puis il ouvrit son cœur à la jalousie et tenta par trois fois de tuer David qu’il savait consciemment être l’élu de Dieu pour lui succéder.

Lorsqu’il constata : « Dieu s’est retiré de moi » (1 Sam 28.15), au lieu de se repentir et de revenir à lui, il alla consulter la pythonisse d’En-Dor, tout en sachant que Dieu l’avait interdit. Même si nous ne pouvons pas dire qu’il ait commis le péché impardonnable, il a, en tout cas, illustré le chemin qui y mène.

Un autre exemple, dans le N.T., est celui d’Hérode auquel Jésus ne répond plus : il avait eu maintes occasions d’entendre la vérité par Jean-Baptiste, mais il a fermé son cœur à la voix de Dieu, préférant vivre dans le péché.

Lorsque Paul persécutait les chrétiens, il ne péchait pas contre le Saint-Esprit, car, comme il l’a dit plus tard, il agissait par ignorance (1 Tim 1.13). Mais si, sur la route de Damas, en voyant le Seigneur ressuscité et en entendant sa voix, il avait fermé ses yeux et ses oreilles, s’il avait persévéré dans son opposition au Christ, il se serait définitivement fermé à la vérité en commettant le péché contre le Saint-Esprit.

Au-delà du point de non-retour

Un passage qui a souvent été rapproché de ceux des Évangiles qui parlent du péché contre le Saint-Esprit est Hébreux 6.4-6.

Le péché dont il est question ici a un certain nombre d’analogies avec le « péché contre le Saint-Esprit » de Mat 12.32 et Luc 12.10. « Dans ces versets, dit F. F. Bruce, il n’est pas question de la “persévérance des saints” ; nous dirions plutôt qu’ils insistent sur le fait que ceux qui persévèrent sont les vrais saints. Mais, en fait, il énonce une vérité pratique qui s’est vérifiée toujours à nouveau dans l’histoire de l’Église visible. Ceux qui ont partagé les privilèges de l’alliance avec le peuple de Dieu et qui, ensuite, y ont renoncé délibérément sont les personnes les plus difficiles à convertir à la foi. […] Sur le plan spirituel, l’expérience nous suggère qu’il est possible d’être “immunisé” contre le christianisme. […] Certains voient clairement où se trouve la vérité, s’y conforment même pour un temps, mais ensuite, pour une raison ou une autre, y renoncent3. »

Ces personnes s’acheminent inéluctablement vers une séparation définitive d’avec Dieu, vers la perdition éternelle.

Nous avons tous connu de ces personnes qui étaient tout près du salut et qui s’en sont détournées par la suite. Pourquoi ? Dieu seul le sait. Mais nous savons qu’elles ont été immunisées contre la foi et ne veulent généralement plus rien savoir des chrétiens. C’est en toute connaissance de cause qu’elles ont choisi de ne pas accepter l’offre que Dieu leur faisait en l’appuyant du témoignage du Saint-Esprit ; elles ont méprisé le Fils de Dieu, considéré comme sans valeur le sang de l’alliance par lequel cette alliance a été consacrée, outragé le Saint-Esprit qui nous transmet la grâce divine (Héb 10.29).

 

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Comment éduque ton esprit (par Kenneth hagin)

«L’esprit de l’homme est la lampe de l’Éternel.» -Proverbes 20:27

C’est par le moyen de notre esprit que le Seigneur nous éclaire et nous guide.

Si tel est le cas et ça l’est il nous faut devenir davantage conscients de notre esprit, du fait que nous sommes des êtres-esprit, et pas uniquement des êtres mentaux ou physiques.

Il nous faut éduquer notre esprit à devenir un guide de plus en plus sûr.

Il s’est avéré qu’une des plus grandes entraves à la marche du monde chrétien dans son ensemble a été le fait que nous sommes davantage conscients de notre individu physique (de notre corps) et de notre individu mental (de notre âme) que de notre individu esprit. Nous avons laissé croître le corps et l’âme au détriment de l’esprit dont nous ne nous sommes pratiquement pas occupés.

Je possède une cassette dont l’enseignement dans ce domaine a été en bénédiction à beaucoup de croyants. Un jeune homme de ma connaissance a récemment, dans l’une de nos réunions, témoigné de la façon dont cet enseignement l’avait aidé.

Il y a quelques années, alors qu’il était âgé de 31 ou 32 ans, il se mit dans les affaires, après avoir laissé un emploi salarié, avec un total de 5 500 dollars. Il lui fallut employer cet argent pour ses dépenses courantes – il était célibataire à cette époque et comme capital.

Son pécule tomba un moment à 50 dollars. Il donna ce témoignage : «J’écoutais les enregistrements de Frère Hagin. Trois d’entre eux traitaient de la foi et de la confession, un autre avait pour titre :

«Comment éduquer l’esprit humain». Je l’écoutais tous les soirs en me couchant. Je le repassais le matin et l’écoutais tout en me rasant. Je l’écoutais et le réécoutais, probablement des centaines de fois – jusqu’à ce que le message eût enfin pénétré mon esprit. Et alors, en écoutant mon esprit et en mettant en oeuvre ma foi, je vis mon avoir atteindre plus de 30 millions de dollars.»

Ce jeune homme est à présent âgé de 38 ans seulement. Il n’est pas un prédicateur mais un homme d’affaires. Il m’a raconté comment en écoutant son esprit, il savait de quelle façon investir et acheter des terrains.

Et c’est dans ce chapitre : «Comment éduquer l’esprit humain», que je vais donner la substance de l’enseignement contenu dans cette cassette.

  • Votre esprit peut être éduqué, tout comme votre intelligence.

  • Votre esprit peut acquérir force et entraînement tout comme votre corps.

Et voici quatre règles grâce auxquelles vous pouvez y parvenir : Par la méditation de la Parole, Par la mise en pratique de la Parole, En donnant à la Parole la première place et Par l’obéissance immédiate à la voix de votre esprit.

  1. PAR LA MÉDITATION DE LA PAROLE DE DIEU.

Les hommes et les femmes les plus spirituels que je connaisse sont ceux qui consacrent du temps à la méditation de la Parole de Dieu. Il n’est pas possible d’obtenir la sagesse spirituelle sans méditation. L’Éternel fit bien comprendre cette réalité à Josué, après la mort de Moïse, tout au début de son ministère :

«Que ce livre de la loi ne s’éloigne point de ta bouche; médite-le jour et nuit, pour agir fidèlement selon tout ce qui y est écrit; car c’est alors que tu auras du succès dans tes entreprises, c’est alors que tu réussiras.» Josué 1/8

Si Dieu n’avait pas voulu voir Josué avoir du succès dans ses entreprises, pour quelle raison lui en aurait-Il donné le secret ? S’Il n’avait pas voulu le voir réussir, pour quel motif lui aurait-Il donné ce conseil ? Dieu souhaitait le succès de Josué et Il souhaite le vôtre.

En paraphrasant cette vérité dans le langage du Nouveau Testament, nous pourrions dire : «Que la Parole de Dieu et plus spécialement le Nouveau Testament ne s’éloigne pas de ta bouche ; médite-la jour et nuit, pour agir fidèlement selon tout ce qui y est écrit ; car c’est alors que tu auras du succès dans tes entreprises, c’est alors que tu réussiras.»

Si jamais vous désirez accomplir de grandes choses dans la vie, si vous souhaitez atteindre un certain but dans la vie, prenez le temps de méditer. Prenez le temps de méditer la Parole de Dieu. Commencez par lui consacrer au moins 10 à 15 minutes par jour pour progressivement allonger ce temps de méditation.

En 1949, j’ai quitté la dernière paroisse dans laquelle j’avais exercé mon ministère pour me donner depuis lors au service itinérant. Avant cela, je jeûnais beaucoup plus souvent que maintenant et je priais de façon différente. (Vous apprenez certaines choses à mesure que vous avancez dans la vie chrétienne).

Tenir deux réunions par jour ce que je faisais toujours, et parfois même trois demande beaucoup d’énergie physique et spirituelle. J’avais des cours tous les matins, je priais à haute voix tout au long de l’après-midi et je prêchais tous les soirs.

Je ne prenais qu’un seul repas par jour et en dépassant tant d’énergie, je finis par m’affaiblir. Ensuite, je jeûnais deux jours par semaine, le mardi et le jeudi, ne prenant aucune nourriture, ne buvant pas une goutte d’eau pendant 24 heures.

Un jour, le Seigneur me dit : «Il serait préférable que tu mènes une vie plus sobre au lieu de jeûner certains jours à certaines périodes.»

–  «Que veux-Tu dire, Seigneur ?», demandai-je. Je n’ai jamais entendu parler de la sorte.

–  «Au lieu de jeûner certains jours et de manger les autres jours tout ce qui te plaît, tu ferais mieux de mener une vie sobre. Le jeûne n’a pas d’influence sur moi. Je suis toujours le même, avant, pendant et après ton jeûne. Ceci ne change rien à la Parole. Cela ne t’aide qu’à assujettir ta chair. Donc, ne mange pas toujours tout ce qui te plaît, sois sobre en tout temps.»

«Puis», ajouta-t-Il, «ne passe pas tous tes après-midis à prier et à t’épuiser avant la réunion du soir. Repose-toi et médite.»

C’est ainsi que je commençai à m’allonger l’après-midi et à méditer. Et je progressais bien plus en méditant que je ne l’avais fait en priant et jeûnant. Je grandis, spirituellement parlant.

C’est ce qu’Il voulait dire en déclarant dans Josué 1 : 8 : «C’est alors que tu auras du succès dans tes entreprises…» Je désirais avoir du succès dans le ministère. «C’est alors que tu réussiras...» Je désirais réussir dans le ministère.

Ceci est valable pour tous, que vous soyez dans le ministère, que vous éleviez du bétail, que vous vendiez des automobiles ou quoi que vous fassiez.

Que cette Parole de Dieu ne s’éloigne point de ta bouche. Parles-en. Mais tu la méditeras. Réfléchis sur elle. Le mot hébreu traduit par «méditer» comporte également l’idée de «murmurer». Murmure-la à toi-même.

Avant même d’avoir jamais entendu prêcher sur la méditation, je fus conduit par le Seigneur à me reposer sur un lit et à me murmurer la Parole. Je me la disais à moi-même, tout simplement. Et c’est dans ces instants que j’ai connu les plus merveilleuses réunions que j’aie jamais eues. Je fis l’expérience d’une remarquable croissance spirituelle, et en même temps, mes forces physiques s’en trouvèrent renouvelées.

J’aime beaucoup une autre traduction de Josué 1:8 qui rend ainsi la dernière phrase : «… tu seras capable d’agir avec sagesse dans les affaires de la vie. » Vous ne pourriez pas avoir du succès dans vos entreprises si vous ne saviez comment traiter avec sagesse les affaires de la vie.

Pourquoi avez-vous su agir avec sagesse dans les affaires de la vie? Parce que vous avez médité la Parole de Dieu et que vous avez marché à la lumière de cette Parole.

   2. PAR LA MISE EN PRATIQUE DE LA PAROLE.

«Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter…» Jacques 1:22

Nous sommes entourés de beaucoup de gens qui «parlent de la Parole», et même de beaucoup de gens qui «se réjouissent de la Parole», mais il en est peu qui la mettent en pratique.

Commencez par la mettre en pratique dans toutes les circonstances en faisant ce que la Parole vous enjoint de faire.

Pour certains, mettre la Parole en pratique signifie seulement observer les Dix Commandements. Ce n’est pas du tout le sens de Jacques 1:22.

Après tout, nous qui vivons sous la nouvelle alliance n’avons qu’un seul et unique commandement : celui de l’amour. Jésus dit : «Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres.» (Jean 13:34).

C’est ce que fait quiconque met la Parole en pratique. Si vous aimez quelqu’un, vous ne le volerez pas, vous ne lui mentirez pas. Le Nouveau Testament affirme que l’amour est l’accomplissement de la loi. Si vous marchez dans l’amour, vous n’enfreindrez pas une loi qui a été donnée pour réprimer le péché.

Mettre la Parole en pratique signifie qu’il nous faut avant tout agir selon l’enseignement des épitres, car ce sont les lettres qui ont été écrites pour nous, l’église. Pour avoir un exemple de ce que cela implique, considérons quelques-unes des instructions que nous livrent ces épîtres. «Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu.» Philippiens 4:6

Faites-le donc ! Nous sommes d’accord de mettre en pratique une partie de ce verset, celle qui nous dit de prier. Mais si vous ne mettez en pratique que celle-ci et non la première, vous ne mettez pas en pratique la Parole.

Une traduction de Philippiens 4:6 débute ainsi : «Ne vous irritez point ou ne soyez pas dans l’anxiété à propos de quoi que ce soit…» En premier lieu, il nous est dit de ne pas nous irriter, car si nous le faisons ou que nous soyons dans l’inquiétude, il sera inutile de présenter nos requêtes. Cette sorte de prière n’est suivie d’aucun effet.

Une prière qui déborde d’anxiété et d’irritation est inefficace.

J’éprouvai une grande tristesse pour un pasteur qui vint me trouver il y a quelques années. Souvent, le fait de montrer de la sympathie à quelqu’un n’apporte pas de réponse à ses problèmes.

Sa vie était une suite d’épreuves et de tempêtes. Il avait des problèmes d’estomac et ne pouvait pas garder ce qu’il mangeait. Il ne pouvait pas dormir. Ses nerfs étaient ébranlés en raison d’un incident particulier.

Il vint me voir pour que je l’assiste. Je me mis à lui parler de ce qu’enseigne l’écriture et comment il lui fallait prier. Lorsque je l’encourageai à s’emparer de ce verset et à agir en conséquence, il se rebella, en disant : «Oh, oui, mais tout le monde n’a pas votre foi.»

Je lui dis qu’il n’était pas question d’avoir une grande foi, mais seulement de mettre en pratique la parole, que s’il voulait la mettre en pratique, sa foi grandirait. Et je lui montrais comment, personnellement, je mettais ce texte en application.

Lorsque je me trouve seul, je lis ce verset à haute voix, je dis au Seigneur que Sa Parole est vraie et que je la crois.

Je dis à ce pasteur qu’il serait tenté d’affirmer qu’il ne pouvait s’empêcher d’être inquiet et irrité, mais que Dieu ne nous demandait rien qui fût au-dessus de nos forces. Quand Il nous demande de ne pas nous irriter, ceci veut dire que nous sommes en mesure de ne pas nous irriter. Car Dieu est un Dieu juste qui n’exige rien de trop difficile pour nous.

Lorsque je me mis à mettre ce verset en pratique, il me fut facile de croire que je pouvais faire connaître mes requêtes à Dieu mais il me fut difficile de croire que je pouvais ne pas m’irriter. Mais, puisque Dieu nous ordonne de ne pas le faire, alors je pouvais dire: «Je refuse de m’irriter ou de m’inquiéter de quoi que ce soit.»

Je dis au Seigneur que je Lui présente mes requêtes, puis je Le remercie de l’exaucement. Ceci a pour effet de me calmer et d’apporter la paix à mon esprit que le diable cherche à troubler.

Puis, je me lève pour vaquer à mes affaires. Mais en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, le diable essaie de nouveau de me tenter. Je m’arrête simplement, relis ce verset et ne cesse de le faire mien.

Ce pasteur commença à mettre en pratique Philippiens 4:6. Il m’avoua plus tard que le problème fut résolu et qu’il n’était pas aussi important qu’il l’avait cru. Il était sur le point d’être poursuivi en justice pour une certaine affaire, mais Dieu était venu à son secours.

Il est bien possible de tellement s’irriter à un certain propos que l’on ne peut plus rien manger, ni parvenir à dormir. Mais tout ce qui vous reste à faire, c’est de mettre en pratique la Parole et l’issue ne fait aucun doute. Philippiens 4:7 est la conséquence de la mise en pratique de Philippiens 4:6. «Et la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence, guidera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ.» Philippiens 4:7

Nombreux sont les croyants qui désirent ce dont il est question dans ce verset 7, mais qui ne sont pas prêts à mettre en pratique le verset 6 qui fournit le moyen d’obtenir la paix. Une traduction du verset 7 dit ceci : «Et la paix de Dieu qui transcende toute compréhension sera en garnison et montera la garde autour de vos cœurs et intelligences en Jésus-Christ.» La paix de Dieu montera la garde autour de votre cœur et de votre intelligence. Mais est-il possible que vous moissonniez ces résultats et connaissiez cette paix si vous ne mettez pas en pratique la Parole ? Non, c’est certain.

Le verset 6 nous ordonne de ne pas nous irriter. Les personnes qui s’inquiètent et s’irritent, considèrent toujours le côté négatif de la vie. Le verset 8 nous indique ce sur quoi doivent se porter nos pensées :

«Au reste,frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées.» Philippiens 4:8

FAITES ce que demande ce verset 8. Mettez-le en pratique. Pensez à ce qui est juste. Trop de gens pensent à ce qui ne l’est pas. Vous pouvez savoir à quoi ils pensent en écoutant ce qu’ils disent. La Bible déclare : «De l’abondance du cœur la bouche parle.»

Ces gens sont perpétuellement inquiets, ils s’irritent et ne voient que l’aspect négatif de la vie et ils distillent une constance incrédulité. Vous ne pouvez pas mettre la Parole en pratique et persister dans l’incrédulité. Plus vous vous entretenez de certaines choses, plus grande est l’importance qu’elles revêtent.

Si un quelconque sujet ne mérite pas tous ces qualificatifs vrai, honorable, juste, pur, aimable, digne d’approbation – alors, n’y pensez pas et n’en parlez pas !

Une version de 1 Corinthiens 13:7 dit ceci : «L’amour… est toujours prêt à croire ce qu’il y a de meilleur en chaque personne.» Au fil des années, j’ai découvert que la majorité de ce qui se disait sur les uns et les autres ne méritait pas même le premier qualificatif. Ce n’était pas vrai.

Ne répétez donc pas ce que vous entendez, n’y pensez même pas. Il se peut que certains faits soient exacts, mais ils ne sont ni purs ni aimables, et notez-le bien, ne sont pas dignes de louange. Nous n’avons donc pas à y attacher nos pensées.

Si nous le faisons, nous donnons accès au diable, car sa plus puissante arme est son pouvoir de suggestion. Il s’efforce sans cesse de pénétrer la sphère de vos pensées. C’est la raison pour laquelle la Parole de Dieu nous enjoint de faire de ces choses «l’objet de nos pensées».

Dans les épîtres, Dieu le Saint-Esprit s’adresse tout particulièrement à l’église. Méditez-les et ce qu’Il a à nous dire, mettez en pratique la Parole et vous connaîtrez une réelle croissance spirituelle.

  3. DONNEZ A LA PAROLE LA PREMIÈRE PLACE.

C’est en donnant à la Parole de Dieu la première place dans votre vie que vous pourrez éduquer, cultiver et fortifier votre esprit.

«Mon fils, sois attentif à mes paroles, pîete l’oreille à mes discours. Qu’ils ne s’éloignent pas de tes yeux; garde-les dans le fond de ton cœur; car c’est la vie pour ceux qui les trouvent, c’est la santé pour tout leur corps.» Proverbes 4:20-22

Dieu dit dans ce passage : «Sois attentif à mes paroles (prête-leur attention – donne-leur la première place) : prête l’oreille à mes discours (écoute ce que j’ai à te dire) ; qu’ils ne s’éloignent pas de tes yeux (ne cesse pas de considérer la Parole de Dieu) ; garde-les (mes Paroles) dans le fond de ton cœur.»

De riches dividendes seront le lot de ceux qui se plient à ces conseils. Pour ‘quelle raison Dieu nous demande-t-Il de donner la première place à Ses Paroles, d’être attentifs à ce qu’Il a à nous dire, de garder Sa Parole sous nos yeux et dans le fond de notre cœur ?

Parce que «…C’est la VIE pour ceux qui les trouvent, c’est la SANTE pour tout leur corps.»

Une certaine traduction anglaise donne dans les parallèles au lieu du mot «santé», le mot «remède» comme équivalent du mot hébreu. Ses Paroles sont «remède pour tout leur corps». La Parole est source de guérison.

Au cours des douze années où je fus pasteur, des membres des différentes paroisses où j’exerçai mon ministère tombèrent malades, durent entrer à l’hôpital et ensuite demandèrent la prière. Je ne dis pas qu’il est mal d’avoir recours aux offices d’un médecin, certainement pas. Nous sommes pour les hôpitaux et les médecins. Dieu soit loué pour eux ! Mais ce que je me demande est ceci : pourquoi ne pas donner la première place à la Parole de Dieu ? C’est souvent en dernier ressort que les chrétiens se tournent vers elle.

Un pasteur baptiste qui ne croyait pas particulièrement à la guérison divine me raconta qu’il avait eu des problèmes avec ses amygdales. Son médecin insistait pour qu’il se les fit enlever. Une date fut donc fixée pour l’opération.

Il était de tradition dans sa famille de lire la Bible et de prier tous les matins avant le départ des enfants pour l’école. Le matin même du jour où il devait entrer à l’hôpital, le texte de la lecture indiqué était celui où il est parlé du roi Asa qui eut les pieds malades. Mais au lieu de chercher l’Eternel, il fit venir les médecins et il mourut (2 Chroniques 16:12).

Ce récit fit grande impression sur le pasteur. Il comprit qu’il n’avait pas même prié à propos de ses amygdales. Il en parla à sa femme et à ses enfants et leur demanda de prier tous ensemble à ce sujet.

Pendant la prière, le Seigneur lui conseilla de ne pas se faire opérer. A son grand étonnement, le Seigneur l’avait guéri et il n’eut plus jamais de problème de ce côté-là.

Il y a là une leçon pour nous. La Bible ne sous-entend pas que le roi Asa mourut parce qu’il eut d’abord recours aux soins des médecins, mais qu’il aurait dû donner la première place à l’Eternel.

Nous devrions apprendre à Le mettre en premier.

Nous devrions nous entraîner à nous poser cette question à propos de n’importe quelle affaire : «Que dit la Parole de Dieu à ce propos ?»

Il faudrait que nous nous demandions ce que le Seigneur a à dire au sujet de tout ce qui peut se produire dans notre vie et alors que nous mettions Sa parole en premier.

Il arrive que parfois famille et amis vous poussent à agir – mais alors, vous, pensez à consulter la Parole de Dieu en la matière.

Mettez la Parole de Dieu à la première place dans tous les domaines de votre vie.

  4. OBÉISSEZ IMMÉDIATEMENT A LA VOIX DE VOTRE ESPRIT

L’esprit humain a une voix que nous appelons conscience, parfois intuition, voix intérieure ou directive.

Le monde emploie un autre terme : le «flair». Mais c’est votre esprit qui vous parle. L’esprit de tout homme, chrétien ou non, a une voix.

L’esprit humain, comme nous l’avons vu au cours des chapitres précédents, est un homme spirituel, un homme-esprit, un homme intérieur, caché aux sens physiques. Il est impossible de le voir avec les yeux naturels ni de le toucher avec les mains. C’est l’homme qui est devenu une nouvelle créature en Christ (2 Corinthiens 5:17).

Lorsqu’un homme est né de nouveau, son esprit devient un nouvel esprit. Par la bouche et de Jérémie et d’Ézéchiel, Dieu annonça qu’un temps viendrait où Il enlèverait le vieux cœur de pierre pour le remplacer par un cœur nouveau. Il déclara qu’Il mettrait Son Esprit en nous. Sous la Nouvelle Alliance, la nouvelle naissance est pour tous.

La nouvelle naissance est une renaissance de l’esprit humain.

Ainsi que le déclare 2 Corinthiens 5:17, si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature toutes les choses anciennes de son esprit, la vieille nature, ont disparu et toutes choses sont devenues nouvelles.

Dans la mesure où vous donnez à cet esprit né de nouveau le privilège de méditer la Parole de Dieu, cette dernière devient sa source d’information. Votre esprit s’en trouvera fortifié et la voix intérieure de votre conscience, éduquée dans l’esprit, deviendra un guide sûr.

Avez-vous remarqué que la méditation de la Parole, la mise en pratique de la Parole, le fait de lui donner la première place passent avant l’obéissance à votre esprit ?

Vous voyez, si votre esprit a eu le privilège de méditer la Parole, de La mettre en pratique, de Lui donner la première place, alors il deviendra un guide revêtu d’autorité.

«L’esprit de l’homme est la lampe de l’Eternel…» Votre esprit né de nouveau a en lui la Vie et la Nature de Dieu.

Le Saint-Esprit habite en votre esprit. «…celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» (1 Jean 4:4). Le Saint-Esprit habite en votre esprit.

Dieu doit entrer en communication avec vous par l’intermédiaire de votre esprit parce que c’est là qu’Il demeure. C’est Lui qui tient informé votre esprit.

Apprenez à obéir à la voix de votre esprit.

Si vous n’êtes pas accoutumé à ce faire, il est évident qu’il vous faudra du temps pour y parvenir. Mais comme nous l’avons déjà dit, votre esprit peut être entraîné et fortifié tout comme votre corps.

Votre esprit peut être éduqué tout comme votre intelligence.

Mais de même que vous n’avez pas débuté votre scolarité en ne passant qu’une semaine au cours préparatoire et que vous n’avez pas achevé vos études la semaine suivante, dans la classe terminale, de même votre esprit ne saurait être éduqué et entraîné en une seule nuit.

Si vous suivez ces quatre règles et les mettez en pratique, vous serez cependant à même, au bout d’un certain temps, de connaître la volonté de Dieu le Père dans les moindres détails de votre vie.

Il vous guidera et vous saurez instantanément s’Il vous dit « oui » ou « non ». Dans votre esprit, vous aurez connaissance de ce que vous avez à faire.

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les consequences spirituelles de la pornographie (2/5)

L’industrie de la pornographie est contrôlée par le diable, Peut-être vous me direz comment vous le savez ? Je le sais parce qu’aujourd’hui la pornographie est un lien ou sont attachés plusieurs fils, parce qu’il constitue un piège ou tombe même les serviteurs de Dieu. Vous ne savez combien ils sont nombreux des chrétiens qui vivent dans la pornographie.

Le diable utilises se canal pour paralyse les services des plusieurs (un serviteur de Dieu qui vies dans la pornographie ne saurais pas être efficace dans son service), il utilise se canal pour maintenir par terre certains ministères, certaines vies dans la communion avec Dieu.

Voilà pourquoi j’affirme que le diable contrôle l’industrie de la pornographie. essayons ensemble de voir les conséquences qu’a cette pratique dans la vie d’un enfant de Dieu.

  • La pornographie est une porte d’entrée des esprits impurs,

De la même manière qu’une personne ne sors jamais dans la présence de Dieu mains vide, il y a toujours une chose que Dieu fait même quand la personne est inconscient de ce qu’il a fait ; de la même manière aucune personne ne s’expose à la pornographie est reste indemne, il y a toujours quelques choses qui se fait.

Soit il a un transfert des esprits impudiques, soit il est atteint dans sa subconscience.

  • La pornographie est toxique à notre relation avec Dieu, car elle est un péché

Matthieu 5 :28 Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur.

Je ne dirais pas que la pornographie est un péché plus grand que les autres, mais les conséquences qu’a la pornographie sur nous sont plus important que des certains autres péchés.

La pornographie a des conséquences sur notre vie avec Dieu, sur la vie de couple pour ceux qui sont marié (dernièrement on m’a raconté une histoire d’un homme marié dont la femme avait surpris entre de regardé la pornographie en se masturbant, et la femme avait demandé le divorce. La consommation de pornographie est potentiellement destructrice pour toute union car souvent le partenaire le considère comme une trahison).

Elle constitue aussi un frein à une vie d’adoration Toutes personnes qui a était une fois dans cette vie vous dira combien ces images refont surface à l’improviste, à des moments non désirés, surtout quand l’on veut adorer.

Elle infecte nos penses des images obscènes (Les scientifique affirment que les images pornographiques sont celles qui perdurent le plus dans l’esprit, par rapport aux vidéos) et l’adoration deviens presque impossible.

Ces pourquoi d’ailleurs beaucoup pensent ne pas être pardonnés par Dieu même quand ils le sont à cause de ses images, et on se sent si sale et au lieu d’adoré, nous confessons nous pensons toute notre temps demandé pardons pour certains,  et d’autres fuis même la face de Dieu.

  • la pornographie tue votre sensibilité spirituelle
  • la pornographie vous dépouille de votre autorité spirituelle
  • la pornographie paralyse votre ministère et votre service

repentez vous mon frères, tu as une destinés a vivre avec Dieu, tu as une histoire a écrire avec celui qui t’as appelé du tenebre ne laisse pas que l’ennemis, le diable avorte cette destiné puissante qui est la tienne.

Nous avons besoins de toi, Dieu a besoins de toi, de ta bouche pour annonces ses oracles de tes yeux pour voir les spirituelles.

reviens a la maison,le pere pleure, il ne te condamnera pas reviens. il t’attend avec amour il aura compassion de toi, écoute son cœur pour toi , il dit:

« Israël, ce n’est pas à moi que tu as fait appel. Mais tu t’es fatigué de moi, peuple de Jacob. Et pourtant, tu ne m’as pas apporté d’agneaux comme sacrifices, tu ne m’as pas rendu gloire en les offrant. Je n’ai pas fait de toi un esclave en exigeant des dons. Je ne t’ai pas fatigué en demandant de l’encens.

Tu n’as pas dépensé ton argent en achetant pour moi des plantes parfumées, tu ne m’as pas rassasié de la graisse des animaux offerts en sacrifice. Mais par tes fautes, tu as fait de moi un esclave. Tu m’as fatigué par tes péchés.

Pourtant, c’est moi, oui c’est moi qui pardonne tes fautes, parce que je le veux bien. Et je ne m’en souviendrai plus.( BPV Es 43,22-24)

Alors tu dois te repentir de la pornographie, car quand nous nous approchons de lui, avec un repenti sincère, la bible déclare qu’Il est plein de tendresse et de pitié, patient, plein d’amour, il aura pitié de nous.

Esa 55 :7 Que le méchant abandonne sa voie, Et l’homme d’iniquité ses pensées ; Qu’il retourne à l’Éternel, qui aura pitié de lui, A notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner.

Quand notre repentance est sincère, quand nous regrettons vraiment ce que nous avons fait et qu’on a pris une décision d’abandonné, nous ne devons pas avoir peur de nous approcher de Dieu, car ces soucis encore de nous approche de LUI et son action.  

Cette une ruse du diable que de nous montre que rien ne plus possible pour nous qu’on est perdit, que personne ne veut plus de nous, qu’on est sans espoir. écoute

Je t’ai abandonnée très peu de temps. Mais, avec une grande tendresse, je veux te reprendre. J’étais très en colère contre toi, et j’ai refusé de te voir pendant un court moment. Mais avec un amour sans fin, je te montre ma tendresse.

C’est moi, le SEIGNEUR, qui te dit cela, moi qui te libère.

« Je vais agir comme au temps de Noé. J’avais promis qu’il n’y aurait plus de grande inondation sur la terre. De même, je promets aujourd’hui de ne plus me mettre en colère contre toi, de ne plus te menacer. Es 54 :7-9 BPV

Le SEIGNEUR dit : « Venez, nous allons discuter. Même si vos péchés ont la couleur du sang, ils prendront la couleur du lait. S’ils sont rouges comme le feu, ils deviendront aussi blancs que la neige. BPV

Ne-ce pas le moment de vous approcher de votre Dieu, en faisant taire toute voix qui vous dit que ce pas possible, nos sentiments et ce que nous pensons de nous ne sont pas la pense de Dieu, ce que l’entourage pense de nous ne pas ce que Dieu pense de nous.

Esa 55 :8-9 Le SEIGNEUR déclare : Vos pensées ne sont pas mes pensées, mes façons de faire ne sont pas les vôtres. Il y a une grande distance entre mes façons de faire et les vôtres, entre mes pensées et vos pensées. Elle est aussi grande que la distance entre le ciel et la terre. BPV

Comme ce fils prodigue malgré les choses qu’il avait faites se dit ; Je veux repartir chez mon père et je lui dirai : Mon père, j’ai péché contre Dieu et contre toi,

 Car ce que Dieu veut, c’est votre sanctification ; c’est que vous vous absteniez de l’impudicité ;

1 Thessaloniciens 4:3

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Comment vaincre et arrête avec la pornographie selon la bible (1/5)

essayons d’abord d’introduire ces messages que nous essayerons de données en 5 parties

On définit la pornographie comme une représentation (par écrits, dessins, peintures, photos, vidéos…) de choses obscènes, destinées à être communiquées ou vendues au public majeur.

  • Quelques affirmations sur la pornographie

  1. La pornographie agit sur le cerveau comme une drogue

 

 

JUDITH REISMAN, auteure de THE PSYCHOPHARMACOLOGY OF PICTORIAL PORNOGRAPHY qualifie la pornographie visuelle d’ « érotoxine » :

« La pornographie agit sur le cerveau comme une drogue. Regarder des films X déclenche une poussée d’adrénaline qui est ressentie dans le ventre et dans les organe s génitaux, ainsi qu’une sécrétion de testostérone, d’ocytocine, de dopamine et de sérotonine,précise-t-elle. C’est un véritable cocktail de drogues.

La pornographie est un excitant extrêmement puissant, qui provoque flash et euphorie. Ce n’est pas un excitant sexuel, mais un excitant mêlant peur, sexe,honte et colère. »

  • Le cerveau s’habitue aux images pornographiques (la pornographie présente un risque de dépendance).

Elle amène certains individus à ne plus pouvoir être excité qu’en regardant des films pornos et à être tellement habitués à ce genre de scènes que lorsqu’ils se retrouvent face à une situation réelle de rapport sexuel cela ne leur procure ni désir, ni plaisir, ni excitation suffisante pour maintenir une érection.

On dit quand le cerveau est habitué à des images pornographiques, Il développe des circuits d’excitation particuliers. Et les moyens classiques, le rapport sexuel de couple, ne sont plus aussi efficaces. Ainsi, les images pornographiques vont stimuler suffisamment l’excitation pour arriver à un niveau où l’éjaculation se produit.

Si cet homme se trouve avec sa partenaire, sans ces images auxquelles il est habitué, son excitation n’arrive plus à monter aussi haut et il ne parvient pas à éjaculer.

Quelqu’un a dit : À force de faire l’amour à des images, la femme que l’on a dans son lit ne nous excitera plus.

  • La pornographie insensibiliser les émotions.

Des études montrent que les hommes qui consomment de la pornographie sont bien moins choqués par des images de viols que les hommes qui ne regardent jamais d’images pornographiques.

La sensualité a tout à perdre avec la pornographie, car elle montre une sexualité violente et humiliante, bien loin de la vraie sexualité faite de désir, de respect et de jeu complice

 « Le sexe sans sentiment mène à l’addiction » c’est l’échange sentimental et émotionnel qui fait que la sexualité reste excitante.

2. la pornographie crée des appétits qui ne devraient pas exister ; et des envies qui ne devraient jamais être satisfaites.

Celui qui vient de regarder la pornographie n’aura pas envie d’aller lire la bible, mais celui de chercher un homme ou femme. Et dans la plupart de cas ceux qui se livrent à la pornographie pensent que les choses qu’ils ont vues se font aussi dans la vie normale.

Certaines pratiques de la pornographie ne se font dans la vie normale parce que dans la réalité le partenaire ne pas une chose, mais une personne avec qui on échange le plaisir. Beaucoup de cas d’abus sexuels ont été commis par de personnes accrocs à la pornographie, le pire résultat de ce phénomène étant le viol.

DR VICTOR B. CLINE, il affirme dans un article que voir les scènes pornographiques développe un comportement anormal chez la personne, augmente le risque de commettre le viol, l’agression sexuelle ou le harcèlement sexuel de femmes et d’enfants ….

Il ajoute que regarder des films ou regarder des scènes pornographiques conduit à la dépendance comme la toxicomanie qui a besoin d’une période de récupération et de traitement, et il se peut qu’on ne puisse la traiter.

3. Souvent la pornographie sert des supports visuels pour la masturbation

Dans la plupart de cas pour se masturber il faut avoir un support et la pornographie est l’une de support le plus utilisées pour se masturber.

Pour pouvoir capter et séduire le public le plus grand nombre et plus rapidement possible, l’industrie de la pornographie fait appel à des scénarios des fantasmes des personnes, comme le sexe avec une inconnue, le sexe avec sa patronne, dépucelage… ainsi l’excitation sera à son comble qui vas amener à la satisfaction personnelle qui est la masturbation.

La masturbation n’est qu’une conséquence de l’exposition aux images pornographiques, beaucoup ne souffrent pas de la masturbation mais de l’exposition à la pornographie.

David Foster : Quand les gars choisissent de se masturber, cela implique en général des pensées de convoitise sexuelle. Je n’ai jamais entendu parler d’un gars se masturber en pensant à un arbre.

4. Très peu sortent vainqueur du combat avec la pornographie.

oui très peu en sortes vainqueurs car très peu cherchent la meilleure solution, certains se confie a des amis, d’autres a des psychologue … et ce pour cela qu’ils en sortent pas.

Frère en Christ il y’a une solution, peu importe ou tu es avec la pornographie, il peu te délivre, que dis je il va te délivre. si peu s’en sorte toi tu peux y arrivé avec l’Esprit de Christ qui est sur toi, si tu lui appartient vraiment.

la bible dit dans Romains 8:2 En effet, la loi de l’esprit de vie en Jésus-Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort.

la bonne nouvelle est qu’en Christ il y a une puissance pour te délivre de se pratique qui te déshonore. continué a lire la suite pour voir ensemble comment se débarrassé de se pratique.

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La tentation est une sollicitation, et non une imposition. Pst Marcelo tunasi

Ces principes que j’énonce sont tirés de mon expérience de vingt-cinq ans de vie chrétienne, de dix-sept en d’écoute pastorale, de l’observation du monde qui m’entoure; dans ses luttes et ses victoires devant la tentation et surtout de la méditation de la parole de Dieu à la lumière du Saint-Esprit face à ce sujet.

5

Tant que ta volonté s’oppose à une chose, le péché n’aura pas lieu. Lorsque tu es tenté, sache que la tentation n’est pas une imposition, mais une sollicitation.

Le diable te sollicite, mais ne t’impose pas de tomber dans le péché. Beaucoup d’hommes et femmes tombent généralement dans le péché parce qu’ils pensent qu’il le leur est imposé, alors que le péché n’est qu’une sollicitation.

Le diable est un tentateur et un séducteur. Il sollicite, sans pour autant t’imposer. C’est donc ta volonté qui peut lui dire: « non ».

Dieu t’a créé à son image et à sa ressemblance, et t’a doté d’une volonté souveraine capable de dire « oui », mais aussi de dire « non ».

Lorsque le péché se couche à la porte de ton cœur, tu peux la lui ouvrir ou la fermer.

Lorsque le diable rode autour de toi, ce n’est pas qu’il doit entrer, tu peux lui ouvrir la porte tout comme tu peux la lui fermer. Le péché, l’obsession et la tentation constituent une forme de sollicitation, et non une imposition.

C’est ainsi que tu peux dire « non, je ne le ferai pas », car ta volonté est libre de suivre Dieu ou de suivre le diable, de faire le bien ou de faire le mal. Lorsque tu as Christ dans ta vie, ta volonté devient libre; ainsi quand le mal se tient devant ta porte, ne dis plus que c’est une imposition, car ce n’est qu’une sollicitation.

Tu devrais donc dire: on me sollicite vers le mal; je suis sollicité et non pas obligé de faire le mal.

Joseph n’était pas obligé de coucher avec la femme de Potiphar, quand bien même celle-ci était sa patronne; il avait toujours la possibilité de dire « non », et c’est ce qu’il fit. Il se retrouva en prison à cause de cela, mais Dieu demeura avec lui.

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une foi parfaite, et capable de recevoir le pardon de Dieu, afin de t’envoler à nouveau vers les hauteurs de la sainteté. parle Pst Marcelo tunasi

Ces principes que j’énonce sont tirés de mon expérience de vingt-cinq ans de vie chrétienne, de dix-sept en d’écoute pastorale, de l’observation du monde qui m’entoure; dans ses luttes et ses victoires devant la tentation et surtout de la méditation de la parole de Dieu à la lumière du Saint-Esprit face à ce sujet.

Pasteur Marcelo tunasi

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Avec une foi parfaite, sois capable de recevoir le pardon de Dieu, afin de t’envoler à nouveau vers les hauteurs de la sainteté

 

Beaucoup de croyants n’arrivent pas à vivre dans la sainteté et à vaincre la tentation, parce que lorsqu’ils tombent dans le péché, ils n’arrivent pas à croire que Dieu leur a pardonné; alors que la Bible dit: « Si nous confessons nos péchés, il est juste et fidèle pour nous les pardonner » I Jean 1:9,

« Sept fois le juste tombe, sept fois il se relève » Proverbes 24:16.

Ceci n’est pas un encouragement au péché, mais la Bible dit que la grâce surabonde là où le péché a abondé. Romains 6:1. Pécherions-nous pour cela? Loin de nous cette pensée!

Lorsque tu es tombé dans la boue, tu dois en sortir; sinon tu y vivras. Tu dois être aussi capable de demander pardon à Dieu quand tu as péché, accepter son pardon et croire que le Seigneur t’a réellement pardonné, afin de continuer ta marche dans la sainteté et la pureté, sinon, le diable te dira :

Si tu as péché une fois, pèche deux fois, trois fois, etc. Si tu as péché durant une année, pèche pendant dix ans te dira-t-il. Et Jésus-Christ reviendra te trouver dans le péché et tu iras probablement en enfer.

Pierre a péché, mais s’est repenti et est sorti de cette léthargie. Judas par contre, a péché, il est tombé dans la culpabilité et en a fait le frais en se pendant. Ne tombe pas dans la culpabilité de Judas.

Les Judas sont ceux qui pèchent, et qui n’arrivent pas à croire que Dieu peut leur pardonner.

Les Simon Pierres pèchent, mais sont capables de recevoir par la foi la grâce du pardon divin.

Si tu veux vivre dans la sainteté et dominer sur l’obsession, il faut savoir confesser tes péchés à Dieu une fois que tu as succombé, afin de te relever et de continuer la course, parce que le chemin est encore long.

Jésus-Christ est à la porte, il ne faudrait pas qu’il te trouve dans un péché parce que tu as été incapable de croire qu’il peut te pardonner et te gracier.

Il est miséricordieux, celui qui a dit à la femme adultère: « va et ne pèche plus. Personne ne t’a condamné, moi non plus ». Jean 8:11

Il faut être capable de recevoir le pardon de Dieu. C’est aussi un péché et de l’incrédulité que de refuser son pardon; alors qu’il te l’a offert.

Le péché, ce n’est pas seulement la magie, l’occultisme, l’idolâtrie ou la drogue, mais c’est aussi l’incrédulité. Lorsque Dieu t’offre son pardon, après ta repentance, et que tu ne le reçois pas, en continuant de te culpabiliser, c’est bien là aussi un péché.

 

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la différence entre désirer et succomber (principes pour une vie victoire face à la tentation avec Pst Marcelo Tunasi)

Ces principes que j’énonce sont tirés de mon expérience de vingt-cinq ans de vie chrétienne, de dix-sept en d’écoute pastorale, de l’observation du monde qui m’entoure; dans ses luttes et ses victoires devant la tentation et surtout de la méditation de la parole de Dieu à la lumière du Saint-Esprit face à ce sujet

 

2

Il faut faire la différence entre désirer et succomber.

Le péché est un processus qui commence par la convoitise, qui elle, pousse à l’acte. Certes, la convoitise est déjà mauvaise, mais il y a lieu de s’arrêter en chemin. Le diable crée souvent une confusion à ce sujet.

La Bible nous dit que lorsque David est allé vers Saül pour le tuer, après avoir coupé le morceau de sa tunique, son cœur battit et il s’arrêta-là, tandis que ses amis voulaient à ce qu’il aille jusqu’à commettre un meurtre. 1 Samuel 24:6-8. Comme David, dans toute sorte de tentation, tu peux t’arrêter en chemin.

Le désir de tomber dans l’impudicité, de prendre l’alcool ou de rentrer dans l’homosexualité peut sembler plus fort que toi, mais tu peux toujours t’arrêter en chemin et dire non à ce péché.

Ne fais pas une confusion entre le fait de désirer et de succomber. Il est vrai que désirer amène à succomber, cependant, tous ceux qui désirent ne succombent pas forcement, car ils ont encore la possibilité de dire: « non, je ne le ferai pas».

Il peut arriver de sentir le péché se coucher à ta porte, et son désir se porter vers toi, sans pour autant y succomber si tu te décides de dire: « non ».

Lorsque la femme de Potiphar tentait Joseph, la chair de ce dernier pouvait réagir et ses yeux se plaire à découvrir une femme Égyptienne, mais son esprit refusa en disant : «Non, je ne le ferai pas ».

Il est faux de croire que tu dois carrément pécher toutes les fois que tu auras de mauvais désirs et des pulsions charnelles. Tu peux t’arrêter en chemin et ne jamais succomber.

Non, tu n’es pas obligé de le faire. Tu peux dire « non » malgré que le péché se couche à la porte de ton cœur et que ses désirs se portent vers toi.

Tu peux toujours t’arrêter en chemin et ne pas succomber.

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15 principes et principes pour une vie victoire face à la tentation. avec le Pst Marcello Tunasi

Ces principes que j’énonce sont tirés de mon expérience de vingt-cinq ans de vie chrétienne, de dix-sept en d’écoute pastorale, de l’observation du monde qui m’entoure; dans ses luttes et ses victoires devant la tentation et surtout de la méditation de la parole de Dieu à la lumière du Saint-Esprit face à ce sujet.

 

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Si tu veux vaincre une tentation, il faut la détecter et en être conscient.

« Et l’ Éternel dit à Caïn: … le péché se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi …» Genèse 4: 6-7

Ici, nous voyons Dieu avertir Caïn des choses qu’il ignorait jusque-là. La jalousie et le meurtre étaient là, Caïn devait commencer par en être conscient. La Bible dit que le voleur ne vient que pour voler, détruire et égorger. Jean 10:10. Être conscient d’une éventuelle visite d’un voleur, nous alerte sur les dispositions à prendre, afin de protéger notre maison.

La Parole de Dieu ne nous dit-elle pas que le diable rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera? Il faut être conscient de la tentation pour la vaincre.

Joseph était conscient qu’il était tenté. Derrière la femme de Potiphar, il détecta les ruses de l’ennemi le poussant au péché. C’est pourquoi il lui répondit: « Comment ferais-je un aussi grand mal et pécherais je contre Dieu? » Genèse 39: 9, et finit par s’enfuir malgré l’insistance de la femme à commettre l’adultère.

Quelle est cette maladie qui t’obsède? Quel est donc ce péché qui te cherche ou te lie déjà?

Es-tu conscient de la tentation et de ton problème?

Jésus quant à lui, conscient qu’Il était tenté, reconnut dans le tréfonds des intentions du diable, sa séduction pour l’amener à adorer un autre que l’Éternel. Alors, il lui signifia clairement: « Retire-toi, Satan! Car il est écrit: Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. » Matthieu 4:10

Ainsi donc, conscients des tentations auxquelles ils faisaient face, chacun à son époque, les vainquirent par l’application de ce principe.

Tu dois être conscient de toute forme de tentation qui se présente à toi pour espérer en sortir vainqueur. C’est seulement dans ces conditions-là que tu peux y résister et dire « non ».

Il faut reconnaître la maladie pour prendre la décision de te rendre auprès du médecin, qui t’administrera des soins appropriés. Le diable est venu dans le désert pour tenter et faire chuter Jésus-Christ, mais celui-ci maîtrisait les termes de sa visite, qui fut brève et sans suite favorable.

Ainsi, l’avait-il vaincu et chassé; sortant du désert en triomphe.

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Quatre vérités important que dois savoir toutes personnes qui veulent avoir une vie de prière

  1. Dieu aime quand l’on prie

Dieu aime quand l’on prie, car quand l’on le prie on reconnait qu’il est notre Dieu, et le prié ce de lui donne la gloire. Mais aussi Quand on prie on témoigne notre dépendance à de Dieu, Mais aussi nous acceptons de soumettre toutes notre vie à lui.

Jérémie 33:3 Invoque-moi, et je te répondrai; Je t’annoncerai de grandes choses, des choses cachées, Que tu ne connais pas.

2. Dieu est celui qui écoute nos prières; mieux encore il est celui qui les exauce.

Psaumes 65:2 65-3 O toi, qui écoutes la prière! Tous les hommes viendront à toi.

Psaumes 66:19 Mais Dieu m’a exaucé, Il a été attentif à la voix de ma prière.

Il y a longtemps, raconte FUNCKE dans son livre sur la Suède, il y a bien longtemps de cela, des décades, je revenais un soir de HASTEDT.

 J’étais allé voir mon ami. ACHELIS, actuellement professeur à Marbourg et, qui était alors pasteur à HASTEDT, l’un des faubourgs de Brême.

J’étais tout seul. La route était déserte et j’allais d’un pas très rapide. Subitement, je fus arrêté. Non que j’eusse été assailli par des voleurs de grand chemin ou que j’eusse trébuché:

 Non! ce fut quelque chose d’intérieur qui m’obligea à m’arrêter. J’étais arrivé à un endroit de la route appelé les «Trois poteaux,» où il n’y avait que quelques misérables huttes.

Et c’est dans une de ces huttes que je dus m’arrêter, la seule où l’on vit encore briller de la lumière. Une voix intérieure me dit impérieusement:

«Il faut que tu entres dans cette maisonnette.»

En général, je ne suis pas homme à attacher beaucoup d’importance aux voix intérieures. Puis j’avais hâte de rentrer chez moi, où je savais que ma jeune femme m’attendait depuis longtemps; du reste, la fatigue me talonnait.

Je me dis un moment que je ne connaissais absolument pas les gens qui demeuraient là. Que diraient-ils en me voyant ainsi entrer chez eux sans avoir été appelé?

Mais ce fut en vain, la voix se faisait toujours plus impérieuse, et, bien que j’eusse déjà dépassé la maisonnette, je fus obligé de rebrousser chemin.

La porte était entrebâillée, de sorte que personne ne m’entendit entrer; de plus, la chambre que je voyais par la porte, était aussi exiguë que possible, et les enfants hurlaient à qui mieux mieux.

 Ils étaient tous autour de leur mère, assis ou à genoux, et lui criaient d’un ton suppliant

  • Mère, nous voudrions tant manger mère, mère, donne-nous du pain!

La mère, une grande femme, était assise là, pâle, amaigrie, les yeux pleins de larmes. Elle se bouchait les oreilles, comme une désespérée, et s’écriait:

  • «O Dieu! Qui es au ciel, comment peux-tu assister à ce spectacle? O Dieu! Viens en aide à mes pauvres enfants! O Dieu! Je crois que tu n’as plus d’oreilles!»

A ce moment-là, j’entrai dans la chambre. Je mis ma main sur l’épaule de la femme et lui dis d’une voix forte:

  • Si, si, ma brave femme, Dieu a encore des oreilles. Il vous a entendue et m’a envoyé vers vous. Vous allez être rassasiés, vos enfants et vous. Mère et enfants restèrent muets de surprise. Ils me regardaient comme s’ils sortaient d’un rêve.

Ps 126:1 Quand l’Eternel ramena les captifs de Sion, Nous étions comme ceux qui font un rêve

Il s’agissait d’abord de calmer la faim de ces enfants. La femme et moi, nous primes donc le plus grand panier que nous pûmes trouver, et nous voilà en route, d’abord chez le boulanger, puis chez le boucher, puis chez l’épicier et enfin chez le laitier, Les enfants trottaient derrière nous, et à peine arrivés chez le boulanger, on leur mit quelque chose sous la dent.

 Il aurait fallu voir ce joyeux cortège. Jamais je n’en ai vu de si gai de ma vie. C’était un vrai plaisir de les regarder.

Je m’efforçai aussi d’encourager la mère et ses petits chéris. Il aurait fallu avoir un cœur de pierre pour ne pas savoir que leur dire. Les enfants eux-mêmes étaient émus.

– Il est resté, notre bon Dieu, disaient-ils.

– Dès lors je comptai les gens dès Trois-Poteaux au nombre de mes bons amis, et j’allai souvent les voir.

N’avions-nous pas fait ensemble une expérience dans laquelle le Dieu vivant avait joué le rôle principal?

 3. Dieu ne dédaigne pas la prière de misérable

Psaumes 102:17 102-18 Il est attentif à la prière du misérable, Il ne dédaigne pas sa prière.

Dédaigné quelque chose ses les considérer avec dédain; repousser, rejeter avec mépris, au contraire la bible dit :

Proverbes 15:8 Le sacrifice des méchants est en horreur à l’Eternel, Mais la prière des hommes droits lui est agréable.

Proverbes 15:29 L’Eternel s’éloigne des méchants, Mais il écoute la prière des justes.

4. La prière du juste a une grande efficace

Jacques 5:16 Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace.

Le mot efficace viens du grec ISCHUO (IS-KHOO’-O) qui veut dire deux choses :

  1. être fort être fort de corps, être robuste, être en bonne santé
  2. avoir la puissance
  • avoir une puissance montrée par des actes extraordinaires
  • exercer, manier le pouvoir, avoir la force pour surmonter
  • être une force, avoir du résultat
  • être utile
  • être capable de, pouvoir

La prière du juste efficace dans le temps, sur les circonstances, sur les personnes … même sur Dieu. La prière est une puissance qui nous permet d’amené ou d’imposé la volonté de Dieu sur la terre.

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Définissons la prière …

Il est très important de connaitre ce quoi la prière, car on ne peut être efficace dans une chose sans connaitre  son utilité, le pourquoi on le fait. Beaucoup pries aujourd’hui sans connaitre pourquoi il prie, ou même comment ils doivent prier.

Si la prière pour vous n’est qu’un exercice religieux, alors vous avez besoin de cet enseignement.

Si la prière est devenue pour vous très amer, vous êtes frustre parce que vous ne voyez jamais l’exaucement alors vous avez besoin de cet  enseignement.

Permettez-moi d’abord de mettre les bases en définissant la prière. Selon la bible Prié ce ;

  • C’est parler à Dieu:

1 Rois 8:22-23 Salomon se plaça devant l’autel de l’Eternel, en face de toute l’assemblée d’Israël. Il étendit ses mains vers le ciel, et il dit:

O Eternel, Dieu d’Israël! Il n’y a point de Dieu semblable à toi, ni en haut dans les cieux, ni en bas sur la terre: tu gardes l’alliance et la miséricorde envers tes serviteurs qui marchent en ta présence de tout leur cœur!

La prière nous permet de parler avec notre Dieu, d’échanger avec lui, La prière nous permet d’être en contact avec lui. Nous pouvons lui parlé de beaucoup de chose quand nous prions ;

Nous pouvons lui parlé des autres, de notre pays… l’intercession

Nous pouvons lui parle de notre reconnaissance à ses bienfaits, louange

Nous pouvons lui parlé de l’amour que nous avons pour lui, adoration

Nous pouvons lui parlé de nous même

Nous pouvons lui parlé …

  • C’est communiqué avec Dieu

La prière est un moment de communications avec Dieu cette communication se fait quand nous parlons à Dieu mais aussi quand Dieu nous parle. Elle ne consiste pas simplement à parler à Dieu mais elle consiste aussi à se taire et écouté Dieu nous parlé.

Le mot communication vient du latin COMMUNICARE qui veut dire ; mettre en commun (la prière nous uni a Dieu), être en relation avec (La communication permet de se connaitre, d’établir une relation …la prière nous permet de connaitre intimement Dieu en établissant une relation vivante avec lui.

 

trois choses qui caractérisent une vie des prières vivantes.

 

  • Elle nous rend forts face aux tentations

Matthieu 26:41 Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.

BPVV : Veillez et priez, pour que vous ne cédiez pas à la tentation. Certes, l’esprit est plein de bonne volonté, mais la nature humaine est faible et le corps a ses défaillances.

Quelqu’un a dit (MURRAY ANDREW vie intérieure) : le manque de prière secrète, la négligence du maintien de cette vie cachée enracinée en christ, enracinée et fondée dans l’amour, explique la faiblesse de la vie chrétienne à résister dans le monde, et son incapacité à produire du fruit en abondance. 

Quand on sait veuille et priés alors quand viendras la tentation on ne cédera pas. La prière donne à notre nature humaine faible et défaillant la force de résisté, de ne pas cédé quand survient la tentation.

La prière ne pas un devoir mais elle est nécessité pour une vie de chrétienne stable dans la consécration, ne priez pas parce que vous aimes la prière (il y aura de jours ou vous n’aurai pas envie de prié), mais pries parce que vous avez besoin de la prière.

Tu as besoin de la prière pour ressembler chaque jour à Christ.

Parfois tu tombes n’ont pas parce que tu n’as la volonté d’obéir à Dieu ou parce que tu ne l’aime pas, mais parce que tu n’as pas la force d’obéir à Dieu.

  • Elle nous révèle Dieu et augmente notre soif de le cherche encore. 

Il n’y a que ceux qui connaissent Dieu qui le cherchent vraiment, il n’y a que ceux qui savent la présence de Dieu qui la cherchent ardemment.

La présence de Dieu nous remplit de soif de Dieu, il n’y a pas celui qui soupire plus aux près de Dieu que celui qui vit dans sa présence. Quand personne prie et que sa prière touche le trône de Dieu cette personne a soif encore et encore de passé du temps devant sa face.

Psaumes 42-2-3 Comme une biche soupire après des courants d’eau, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu!

Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant: Quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu?

BFC : Comme une biche soupire après l’eau du ruisseau, moi aussi, je soupire après toi, ô Dieu. J’ai soif de Dieu, du Dieu vivant.

Quand pourrai-je enfin entrer dans son temple, pour me présenter devant lui?

  • Elle nous changer, et nous rend sensible aux voix du Saint-Esprit.

Quand nous avons une vie vivante de prières elle nous change, elle nous transforme. Les gens peuvent voir les changements qu’apporte cette relation dans notre vie.

Quand on passe du temps avec Dieu il nous communique sa nature, on devient plus sensible aux péchés.

On devient sensible aux feux rouges de l’Esprit.

Parfois vous aurez des préjuges, des préférences, des dispositions des cœurs mais une fois dans la présence de Dieu, Il change votre façon de voir les choses, parfois vous n’aurez pas envie de faire des choses mais dans la prière Dieu vous convaincra.

Psaumes 73:1-20 (BFC) Psaume appartenant au recueil d’Assaf. Dieu est vraiment bon pour Israël, pour tous ceux qui ont le cœur pur.

Pourtant, j’ai bien failli faire un faux pas; il s’en est fallu d’un cheveu que je tombe.

J’ai vu en effet ceux qui ont renié Dieu, j’ai vu que tout leur réussit, et j’ai envié ces insolents. Ces gens-là n’ont jamais d’ennuis, ils sont gros et gras, ils ne connaissent pas la peine des hommes; les coups durs sont pour les autres, pas pour eux.

Ils portent l’arrogance comme une décoration, la violence leur va comme un costume sur mesure. Dans leur luxe, ils vous regardent de haut, on voit bien tout ce qu’ils imaginent.

Ils se moquent, ils parlent méchamment, d’un air supérieur ils ne parlent que d’opprimer. Ils ouvrent la bouche pour s’attaquer au ciel, et leur langue n’épargne rien sur terre.

C’est pourquoi tout le monde se tourne vers eux et boit leurs paroles comme de l’eau.

Ils déclarent: <<Dieu ne peut rien remarquer; comment peut-il savoir, celui qui est là-haut? >>

Regardez-les, ces gens sans foi ni loi: toujours à l’abri des ennuis, ils améliorent leur situation.

C’est donc pour rien que je suis resté honnête, et que j’ai lavé mes mains en signe d’innocence.

Tous les jours, j’endure toutes sortes de peines, chaque matin, je suis au supplice. Mais si je me décidais à parler comme eux, je serais traître envers tes fils, mes compagnons.

J’ai voulu y réfléchir, pour comprendre; mais tout cela m’a paru trop difficile, jusqu’au jour où, entrant dans ton sanctuaire, j’ai compris quel sort les attendait.

En fait, tu les mets sur une pente glissante, tu les fais tomber dans un piège. Ah! comme en peu de temps ils sont réduits à rien, finis, anéantis par une terreur soudaine!

Seigneur, dès que tu entres en action, ils se réduisent à rien, comme les images d’un rêve lorsqu’on s’éveille.

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Quel sont les signes caractéristiques de la présence de démons dans une personne?

Avant tout, précisons que rien ne peut ni ne doit remplacer le don du discernement des esprits pour tout ce qui concerne le combat qui nous oppose aux démons. Les bases que nous posons dans cet ouvrage sont là pour vous permettre d’aller plus loin.

Nous sommes tous des pécheurs, de par notre vieille nature. Nous sommes tous nés avec un coeur rempli de révolte contre Dieu. « Nous étions par nature des enfants de colère » (Eph. 2 : 3). Une maman n’a pas besoin d’apprendre à ses enfants à être désobéissants : ils le sont de naissance. Le problème, ce serait plutôt de les rendre obéissants… L’homme est rebelle de nature et il hérite d’un penchant pour le mal.

Le remède à une nature rebelle n’est pas la libération : c’est la croix.

Notre vieil homme (la nature adamique rebelle) a été crucifié avec Christ. On ne peut pas exorciser le vieil homme! La seule façon de s’en débarrasser, c’est de le crucifier.

« Ceux qui appartiennent à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses convoitises » (Gal. 5 : 24). C’est une solution radicale! Voilà pour le vieil homme.

On ne peut pas crucifier les démons : on les chasse. Bien des chrétiens ont essayé de crucifier les démons; inutile de dire qu’ils n’y sont pas arrivés!

La Bible dit que nous devons nous considérer comme morts au péché. Mais il n’est pas écrit que nous devons nous considérer comme morts aux démons! En d’autres termes, le péché en nous est mort, mais les démons ne le sont pas!

Pour savoir si nos problèmes proviennent de notre vieille nature ou des démons qui tournent autour d’elle comme des vautours ajour d’un cadavre, il est bon que nous étudiions les formes les plus importantes de l’action des démons.

  • Tentation

Ils exploitent notre convoitise, tout comme on essaie d’attraper les souris avec du fromage! Celui qui nous tente, c’est le démon, qui utilise la convoitise qui est en nous (« chacun est amorcé par sa propre convoitise » Jac. 1 : 14).

Satan ne vient pas en personne à chaque fois que nous sommes tentés. Pour ce travail, il dispose d’une armée de démons bien entraînés.

  • Esclavage

Je pense tout particulièrement à la vie sexuelle. Elle n’a, en soi, rien de mauvais; au contraire, elle est bonne, puisque Dieu a créé l’homme comme un être sexué. Mais certaines personnes entretiennent des désirs sexuels très violents; c’est pourquoi Satan voudrait en prendre le contrôle pour les lier.

Dans le domaine sexuel comme dans les autres, tentation n’est pas péché. Jésus a été tenté en tout comme nous, et pourtant il n’a jamais péché. On peut donc être tenté sans pécher. Si vous péchez, cela ne signifie pas forcément que vous devez être libéré d’un esprit impur. Repentez-vous, confessez votre péché au Seigneur et soyez purifié. Mais si, malgré votre repentance et votre confession, vous devenez esclave, vous avez certainement à faire à un démon.

  • Torture

Matthieu 18 : 23-35 nous raconte l’histoire d’un serviteur à qui on remit une dette de 40 millions de francs mais qui, de son côté, refusait de remettre une dette de 76 francs. Lorsque son ex-créancier entendit parler de sa dureté, il le fit torturer jusqu’à ce qu’il ait tout payé. « C’est ainsi que mon Père céleste vous traitera si chacun de vous ne pardonne à son frère de tout son cœur », conclut Jésus.

Si nous ne pardonnons pas de tout notre cœur, nous serons livrés aux bourreaux. Qui sont-Ils? Ce sont les démons. Beaucoup de chrétiens sont torturés faute d’avoir pardonné.

Il existe différentes sortes de bourreaux.

Le démon de la crainte est le plus répandu. Il existe une crainte naturelle qui est juste : c’est la crainte du Seigneur, le respect de Dieu. Cette crainte est pure : elle subsiste pour l’éternité. Il existe une autre crainte qui, elle, est démoniaque, anormale.

Un autre bourreau : la condamnation, qui fait qu’on se sent constamment jugé et condamné. Mais la Bible dit qu’ « il n’y a aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ » (Rom. 8 : 1).

On trouve encore le doute, forme raffinée de torture.

  • Contrainte

Les démons forcèrent l’homme de Gadara à quitter la civilisation et à se réfugier dans des cavernes.

Tout ce qui n’est pas fait de plein gré plonge souvent ses racines dans le monde démoniaque. Citons simplement la gloutonnerie, la léthargie, toutes ces choses qui, de normales, sont devenues exagérées, disproportionnées. Manger et dormir, c’est normal. Mais quand on est forcé de manger et de dormir, il y a des puissances démoniaques à l’œuvre.

  • Pollution

Tous les esprits mauvais sont impurs et souillent l’intelligence et la conscience d’un grand nombre de personnes.

  • Persécution

Au moment où vous vous mettez à faire quelque chose pour Dieu, ils commencent à vous déranger.

Il y a quelques années, lorsque je devais prêcher, il valait mieux ne pas m’adresser la parole : j’avais besoin de toutes mes forces pour rester calme avant la prédication. Depuis, j’ai été libéré de ces esprits de dépression, de colère, de trouble.

Maintenant, je peux être absolument détendu!

  • QUI TIENT VOTRE CITADELLE ?

Parlons maintenant de ce que j’appelle « la citadelle ». Nous avons vu plus haut que le chrétien néglige parfois d’abandonner certains aspects de sa vie au Seigneur.

La Bible compare la vie intérieure de l’homme à une ville.

Celui qui est lent à la colère vaut mieux qu’un héros, et celui qui est maître de lui-même mieux que celui qui prend des villes. (Prov. 16 : 32.)

Comme une ville forcée et sans murailles, ainsi est l’homme qui n’est pas maître de lui-même. (Prov. 25 : 28.)

Laissez-moi vous donner une image de la citadelle que nous abritons, vous et moi. Prenons la ville de Chicago et admettons que son maire s’appelle M. Richard. La plupart des citoyens trouvent que c’est un bon maire. Bien qu’élu légalement, il n’exerce pas un contrôle absolu sur tous les quartiers : il y en a dans lesquels la police ne peut patrouiller qu’en plein jour, d’autres qui sont tenus par la maffia. Il en est de même avec le chrétien.

Vous avez élu Jésus-Christ maire de votre citadelle, mais la maffia continue peut-être à semer le trouble dans certains de vos quartiers.

C’est une image de l’activité des démons. Ils travaillent de préférence en groupe.

En exorcisant, on découvre souvent un membre d’un « gang » ; il est alors relativement aisé de découvrir ses collègues.

Un groupe qu’on retrouve souvent est : dépression – crainte – solitude – apitoiement sur soi – suicide.

En voici un autre, relativement fréquent : colère – violence meurtre.

N’oublions pas que les démons n’entrent pas dans une personne parce qu’elle a mal agi, mais pour la pousser à mal agir. L’esprit de suicide n’entre

Voyons dans quels quartiers les démons sévissent habituellement. Revenons à Chicago! Nous y trouvons la « city », ses bureaux et ses grands magasins. Plus à l’extérieur, nous avons les banques. Au sud, les grands entrepôts. A l’ouest, le quartier polonais. Au nord, les Juifs; ailleurs, les Suédois. Chaque quartier de la ville présente des caractéristiques qui lui sont propres.

De même, notre « citadelle » est divisée en quartiers qui, chacun, ont leurs caractéristiques.

  • Quartier : sentiments – attitudes – relations

Chaque sentiment, chaque attitude, trouve un démon correspondant : rancune, haine, rébellion, crainte, dépression, solitude, apitoiement sur soi, mépris, fierté, orgueil, etc.

Si vous vous sentez un peu jaloux de temps à autre, cela ne veut pas dire que vous avez un esprit de jalousie! Mais si la jalousie vous saisit et vous rend amer, méfiez-vous.

L’esprit de crainte est le plus répandu.

D’après mon expérience, je crois pouvoir dire qu’un chrétien sur cinq a besoin d’en être libéré.

  • Quartier : pensée

On y trouve des démons caractéristiques : incrédulité, indécision, compromis.

Ils s’attaquent au domaine psychique et sont très puissants.

Un jour, un prêtre vint me trouver. Il me dit avoir des problèmes avec l’homosexualité. Un ami et moi-même priâmes pour lui. Il fut partiellement délivré. Nous insistâmes jusqu’à ce que se révèle un esprit qui se nommait compromis. Lorsque nous le chassâmes, il était si puissant qu’il jetait le prêtre de côté et d’autre comme une balle de caoutchouc.

  • Quartier : langue

Moquerie, mensonge, paroles impures, blasphème, bavardage (les démons «cancaniers» détruisent beaucoup d’églises).

Si vous êtes une de ces personnes qui se préoccupent du chapeau des autres, prenez garde! Pas dans une personne parce qu’elle se serait suicidée, mais pour la pousser à le faire, pas plus que le démon du meurtre n’entre dans une personne parce qu’elle aurait tué, mais pour la pousser à le faire.

  • Quartier : sexualité

Le diable exerce une grande influence sur la personnalité de ceux dont il contrôle la vie sexuelle. Toutes les perversions sexuelles, nous l’avons dit, ont leurs racines dans le monde démoniaque. Toute forme d’homosexualité est démoniaque. Tous ceux qui, à ma connaissance, ont été délivrés de ce problème ont dû être exorcisés.

Je connais un homme qui fut homosexuel pendant de nombreuses années. Lorsque je priai pour lui, il fut partiellement délivré. Il me dit plus tard n’avoir été entièrement libéré que quand il admit que son homosexualité était d’origine démoniaque.

Un autre démon puissant est celui de la masturbation. Certains médecins et psychologues considèrent la masturbation comme un divertissement parfaitement inoffensif. Mais elle est, également, d’inspiration démoniaque. On peut tomber, se repentir, confesser son péché et être pardonné. Mais quand on devient esclave de la masturbation, on est démonisé.

J’ai eu affaire à des personnes mariées qui, après des années de vie conjugale, continuaient à en être esclaves.

Lorsqu’on prie pour des gens qui sont tenus par des esprits de masturbation, leurs mains et leurs doigts commencent parfois à s’agiter et à se tourner dans tous les sens. Dans certain cas, il faut même que l’esprit soit chassé directement des doigts.

La Bible nous dit d’offrir notre corps à Dieu comme un instrument de justice (Rom. 6 : 13).

  • Quartier : vice

Le vice est une convoitise dont on devient esclave. Tout appétit est sain en soi, mais se transforme en vice quand il devient exagéré et pervers et qu’on en devient esclave. Tous les vices sont démoniaques.

J’ai eu affaire avec un jeune fils de médecin, fort bien éduqué. Son vice, c’était le sirop contre la toux… Il en buvait cinq bouteilles par jour. Quand je priai pour lui, l’esprit qui le liait me dit s’appeler vice. Ce fut un combat terrible pour le chasser.

Un jour, je priai pour une jeune chrétienne qui avait la passion… du vernis à ongle, dont elle adorait l’odeur.

– Quand j’entre dans un magasin, racontait-elle, et que j’arrive au rayon des cosmétiques, je n’arrive pas à me comporter comme une personne normale : je suis poussée à acheter du vernis à ongles.

Elle fut libérée de ce démon dans un long hurlement; ce n’était pas de la fantaisie!

Un des vices les plus répandus dans notre civilisation occidentale est la gloutonnerie (Qui mange avidement, excessivement) qui est un vice au même titre que l’alcoolisme.

Je connais un pasteur qui a dû mener un combat terrible pour en être libéré. Il avait soixante ans; il confessa que la gloutonnerie avait détruit sa vie, ses rapports avec sa femme, et l’avait même conduit à devenir un menteur :

Je descendais en ville, j’achetais des tas de bonnes choses et je mangeais tout ce que je pouvais avant de rentrer à la maison. Et je mentais à ma femme.

C’est le problème de l’alcoolique transposé sur le glouton.

Les vices sont des branches qui croissent sur le tronc de la frustration. Quand on trouve des vices, il faut traiter la frustration qui en est la cause, sous peine de travailler en vain.

Parmi les autres vices, citons le tabagisme.

On peut essayer de se justifier en disant qu’on fume par habitude. Mais c’est une habitude qui rend esclave. La première chose que vous faites en sortant de la réunion de prière, c’est d’allumer une cigarette. Et la plupart du temps, vous devez sortir avant la fin de la réunion parce que vous n’y tenez plus… Vous êtes esclave.

Un prêtre me racontait qu’il y avait un réveil dans son église. Parmi les chrétiens réveillés, il se trouvait un homme qui ne pouvait pas arrêter de fumer. Il avait bien essayé de se considérer comme mort au péché, mais cela ne changeait rien. Dans une réunion, le prêtre fut conduit par le Saint-Esprit à lui imposer les mains en ordonnant : Esprit de tabagisme, sors de cet homme.

Le fumeur commença à tousser et l’esprit sortit. Depuis, cet homme ne supporte pas de se trouver dans une pièce où l’on fume. Voilà l’exemple d’une personne qui était devenue esclave malgré ses bonnes dispositions.

Voici quelques maladies typiquement démoniaques : Allergies, sinusites, tumeurs, arthrites, attaques cardiaques.

Un médecin, m’entendant dire cela me lança un défi : – On va bien voir si c’est vrai.

Il était allergique au blé. Il vint à la réunion pour en être libéré, puis essaya de manger des produits à base de blé : il fut convaincu.

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Comment reconnaître et chasser les démons dans votre vie par DEREK PRINCE

Un chrétien peut-il être possédé? nous demande-t-on parfois. La question est mal exprimée et la réponse est « non », en ce sens qu’un chrétien appartient au Seigneur Jésus.

Quiconque appartient à Dieu ne peut pas appartenir au diable!

Ce qui n’exclut pas qu’il puisse y avoir des domaines de sa vie qui soient contrôlés par des esprits mauvais.

Le chrétien appartient à Christ. Il l’a choisi de son plein gré, s’est donné à lui et il est né de nouveau. Malgré cela, il peut y avoir des aspects de sa vie et de sa personnalité que le Saint-Esprit et la nature de Christ n’ont pas investis complètement.

Plusieurs années après ma conversion, je réalisai que certains domaines de ma vie n’étaient pas entièrement remis au Seigneur. Il y a une certaine marge entre le fait d’avoir reçu le Saint-Esprit et le fait d’être absolument sous son contrôle!

Trop de chrétiens s’imaginent que le Saint-Esprit ne peut commencer son œuvre en eux que s’ils sont parfaits. Si nous étions parfaits, nous n’aurions pas besoin du Saint-Esprit!

Prétendre qu’on ne peut recevoir le Saint-Esprit que quand on est parfait revient à dire qu’on ne peut suivre des cours à l’université que si l’on est titulaire d’un doctorat!

C’est maintenant que nous avons besoin de l’aide du Saint-Esprit. Les domaines dans lesquels nous sommes faibles sont justement ceux dans lesquels nous avons besoin de l’aide de Dieu, car ce sont ceux que les démons aimeraient utiliser.

Puisque les démons ne peuvent pas « posséder » un chrétien, ils essaieront d’exercer leur contrôle sur certains domaines de sa vie et de sa personnalité.

Laissez-moi illustrer cela par ma propre expérience.

J’ai toujours prêché le plein Evangile, mais j’avais beaucoup de problèmes intérieurs; j’étais, entre autres, sujet à des accès de dépression. La dépression arrivait et me recouvrait comme un nuage noir, puis elle me pénétrait.

Je ressentais alors une violente sensation de désespoir, qui me portait à penser que les autres pouvaient faire toutes sortes de choses, mais que je n’arriverais jamais à rien.

Je m’imaginais devoir traîner cette dépression jusqu’à la fin de mes jours, et il m’était très pénible de savoir que ma famille devait supporter les conséquences de ces accès.

J’essayai de me débarrasser de la dépression. Je jeûnai et priai, mais cela allait en empirant.

Mon fils me dit un jour :

– Papa, j’aimerais que tu arrêtes de jeûner, parce que plus tu jeûnes, plus c’est pénible.

Pour un prédicateur, c’est dur à entendre!

Mais c’était vrai : le jeûne mettait la dépression en relief, sans pouvoir la faire disparaître. Plus je voulais servir le Seigneur, plus je me sentais oppressé. Si je me relâchais dans ma lutte contre Satan, l’oppression disparaissait.

Cela dura ainsi jusqu’au jour où je remarquai l’expression « un esprit abattu » (Es. 61 : 3). Ce fut une révélation : il n’était pas question de difficultés psychiques mais d’une personne qui venait me déranger dans mon esprit. Je réalisai ensuite que c’était ce même esprit qui avait mené la vie dure à mon père. Il s’agissait d’une sorte d’ « esprit familial » qui nous suivait de génération en génération.

Je pouvais suivre son activité. Je réalisai que l’esprit me connaissait et qu’il planifiait sa stratégie d’après ce qu’il connaissait de moi, pour m’empêcher de servir efficacement Jésus-Christ.

  • Les démons travaillent d’après deux règles essentielles :

a) Vous maintenir loin de Christ.

b) S’ils n’y parviennent pas, essayer de vous empêcher de le servir efficacement.

Vous commencez peut-être à réaliser que cela correspond à des points bien précis de votre vie.

Pourquoi pouvez-vous, par exemple, veiller sans peine en regardant la télévision, alors que vous tombez de sommeil à 22 h si vous lisez la Bible? Parce que l’esprit de sommeil (que citent l’Ancien et le Nouveau Testaments) n’a rien ne contre le fait que vous regardiez un film à la TV; par contre, il voit un inconvénient à ce que vous lisiez la parole de Dieu.

Prenons aussi l’exemple de la petite fille de nos voisins.

Quand ils vont faire leurs courses, elle est toute joyeuse. Mais le dimanche matin, quand elle doit aller à l’école du dimanche, elle se roule par terre en criant. L’esprit qui la lie n’a rien contre le supermarché; par contre, il déteste l’église!

Derrière tout ce qui est démoniaque, il y a un cerveau qui planifie, qui comptabilise, qui calcule comment vous frustrer, vous abattre, vous amener à douter, vous rendre malade et, si possible, vous tuer à petit feu. N’oubliez pas que Jésus disait du diable : « Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire. »

Si vous le tolérez dans votre vie, il vous volera tout ce à quoi vous avez droit: votre paix, votre repos, votre liberté, votre santé.

Il détériorera les bons rapports que vous entretenez avec vos proches et vous conduira à la destruction. Tout ce qui est vôtre en Jésus-Christ ne lui plaît pas! Et il veut vous en éloigner.

Il essaie aussi de vous faire du mal physiquement : chaque année, il assassine des milliers de chrétiens par des cancers, des tumeurs, etc. Jésus nous a avertis. Soyons donc sur nos gardes!

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Sept conseils pour quiconque veut être un instrument puissant de Dieu dans la prédication. Par Mr BRAMWELL

  • But unique:
  1. Usez de tous les moyens pour croître en sagesse, intelligence, zèle, compassion, soyez émus jusqu’aux larmes à la vue de ce monde perdu.
  2. Faites attention que le but de vos études et de vos lectures soit de « sauver les âmes » n’ayez que ce but, il n’y a que trop de prédicateurs qui travaillent pour être populaires.
  3. Si le salut des âmes vous est infiniment cher, vous vous lèverez de bonne heure et vous ferez chaque jour le travail que vous pouvez, lisez, priez. Dans ce but, retirez-vous dès que votre travail et votre repas sont terminés et prenez votre repos.
  4. Si vous n’avez pas d’autre but que d’amener des âmes à Dieu, cet esprit pourvoira à peu près à tout.
  • Travail:
  1. Lisez beaucoup la plume à la main, écrivez chaque jour quelque chose, ayez un cahier spécial pour cela et ne perdez jamais une idée, que Dieu dans sa bonté, vous aura donnée.
  2. Lisez les Écritures sans commentaires, quiconque dépend d’un commentaire sera superficiel et ne parlera jamais avec assurance; un commentaire ne doit être lu qu’une fois votre travail achevé, mais jamais avant.
  • Sermons:
  1. Gardez-vous de ce qui est dur, dites les choses les plus fortes, mais que votre épée soit douce.
  2. Ne soyez pas ennuyeux, fatiguant.
  3. Ne soyez jamais trop long.
  4. Ayez vos plans de sermons, mais ne soyez pas trop enchaînés.
  5. Donnez beaucoup en peu de mots, ne soyez cependant pas trop court.
  6. Ne commencez pas sur un ton trop élevé, vous aurez autant de puissance sur un ton plus bas.
  7. Que votre exorde soit une courte introduction au sermon.
  8. Que votre sermon soit modeste, simple, doux, grave, mais fort clair, atteignant le cœur.
  • Communion avec Dieu:
  1. Que chaque mot, chaque regard, témoigne de la plus grande affection pour vos auditeurs, que tout montre en vous que vous avez le plus grand désir de les sauver.
  2. Soyez beaucoup avec Dieu et votre physionomie resplendira, que chacun voie en vous la « nouvelle création, » toute la plénitude de Dieu.
  • Visite:
  1. Ne soyez pas trop long même dans la société la mieux disposée (1 h.)
  2. Ne dites jamais du mal d’une autre assemblée.
  3. Tournez toutes conversations au profit des âmes.
  • Manière d’être:
  1. Soyez propre, convenable, ne vous habillez jamais avec recherche et élégance, soyez en harmonie avec la manière d’être du Seigneur; qu’il soit toujours devant vos yeux.
  2. Ne soyez jamais cérémonieux, soyez poli, bon, jamais sombre, jamais léger. S’il y a quelque chose d’extravagant en vous, soyez prêt à le reconnaître.
  • Discussion:
  1. Ne faites pas attention aux contradicteurs.
  2. Les discussions sont toujours stériles. Évitez-les, même sur les sujets les plus édifiants.
  3. Soyez bons et affectionnés envers ceux qui pensent autrement que vous. Ayez une bonne parole pour tous, mais ne vous attardez jamais.

 

 

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Six choses qui caractérisent une vie chrétienne charnelle

La Bible mentionne deux sortes de chrétiens. Il est très important que le croyant sache dans quelle catégorie il se trouve et à laquelle il veut appartenir. L’apôtre parle de chrétiens charnels et de chrétiens spirituels.

Pour moi, mes frères, ce n’est pas comme à des hommes spirituels que j’ai pu vous parler, mais comme à des hommes charnels, comme à des enfants en Christ.

Je vous ai donné du lait, non de la nourriture solide, car vous ne pouviez pas la supporter ; et vous ne le pouvez pas même à présent, parce que vous êtes encore charnels. En effet, puisqu’il y a parmi vous de la jalousie et des disputes, n’êtes-vous pas charnels, et ne marchez-vous pas selon l’homme ?

Quand l’un dit : « Moi, je suis de Paul ! » et un autre : « Moi, je suis d’Apollos ! », n’êtes-vous pas des hommes ? – I COR- 3 : 1-4.

 Dans quelle catégorie êtes-vous, lecteur ? Avez-vous jamais été photographié en groupe ?

Vous étiez pressé sans doute de voir l’épreuve, et sur l’épreuve une personne ; si le groupe était réussi, vous vous êtes reconnu aisément.

Je voudrais reproduire le portrait des chrétiens charnels, et je me demande si tel de vous ne va pas se reconnaître parmi les personnages que je dépeindrai. Le portrait sera très précis, du reste, car c’est le divin Photographe, le Saint-Esprit, qui le fera, et Lui nous connaît tels que nous sommes.

  • La vie du chrétien charnel ;

  1. C’est une lutte incessante.

 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l’homme intérieur ; mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres». ROM. 7 : 22-23.

 «Car la chair a des désirs contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à ceux de la chair ; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez». GAL. 5, 17.

 Deux forces absolument contraires se disputent le cœur du croyant. Deux natures, la nature divine et la nature charnelle, se livrent une bataille mortelle. Quelquefois la nature spirituelle a la victoire.

Mais le croyant ne possède qu’une joie, une paix éphémères. Le plus souvent, la nature charnelle domine et arrête l’épanouissement de la vie intérieure.

Une amie m’a raconté le fait suivant. Jacques, son petit neveu, qui avait six ans, se sauvait souvent dans la  rue. Sa mère menaça de le punir s’il recommençait. La tentation se présenta bientôt.

Jacques y céda. Quand il rentra, sa mère lui dit :

  • Jacques, as-tu oublié que tu serais puni si tu me désobéissais ?
  • Non, dit Jacques.
  • Alors, pourquoi t’es-tu sauvé ?
  • Voilà ce qui est arrivé, maman. J’étais dans la rue, je pensais à ta défense. Il me semblait que Jésus me tirait par un bras, et Satan par l’autre.

Malheureusement, c’est Satan qui a tiré le plus fort.

Voilà l’expérience perpétuelle du chrétien charnel. Sa vie intérieure est pitoyable.

Votre vie est-elle ainsi faite de combats incessants et épuisants ?

  1. C’est une vie de fréquentes défaites.

«Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais». – ROM. 7 : 15.

«Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fis le mal que je ne veux pas». – ROM.7 : 19.

Le chapitre 7 de l’épître aux Romains est une biographie spirituelle, sans doute celle de Paul à un moment donné de sa vie. Mais n’est-ce pas aussi la vôtre, la mienne ?

On y voit un homme qui s’efforce sincèrement de vivre une vie sainte.

Cet homme subit de telles défaites qu’il pousse ce cri de désespoir :

«Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?»- ROM. 7 : 24.

Qui d’entre nous n’a jamais dit cela ? Au commencement d’une journée, d’une nouvelle année, nous avons pris de bonnes résolutions, nous nous sommes promis de ne plus faire ceci ou de faire cela.

Mais, à maintes reprises, nous avons été accablés par le sentiment humiliant de la défaite. Nous n’avons pas fait ce que nous avions fermement l’intention de faire. Et nous avons commis à nouveau des actes, dont nous nous étions sérieusement repentis.

Le souvenir de nos péchés et de nos manquements nous hante et nous prive de sommeil.

Nous avons été de mauvaise humeur, orgueilleux, égoïstes, aussi souvent cette année que l’année dernière. Nous avons continué à négliger la lecture de la Bible et la prière, et nous n’avons, pas plus qu’autrefois, l’amour des âmes.

Ce n’est pourtant pas que nous manquions de bonne volonté. Nous étions très sincères quand nous avons pris ces résolutions, et nous avions bien l’intention de les tenir.

«Ce qui est bon, je le sais, n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans ma chair : j’ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien». – ROM. 7 : 18.

Tout chrétien peut être victorieux s’il le veut, car, après avoir fait l’expérience exprimée dans Romains 7, il doit faire celle dont l’apôtre parle dans Romains 8. Connaissez-vous cette victoire ?

  1. C’est une vie étiolée.

«Pour moi, frères, ce n’est pas comme à des hommes spirituels que j’ai pu vous parler, mais comme à des hommes charnels, comme à des enfants en Christ. je vous ai donné du lait, non de la nourriture solide, car vous ne pouviez pas la supporter ; et vous ne le pouvez pas même à présent, parce que vous êtes encore charnels». – I COR- 3 :1-2

Le chrétien charnel ne grandit pas. Il reste « enfant en Christ ». Les chrétiens de l’Église de Corinthe auraient dû être des adultes, capables de prendre une nourriture solide ; mais ils étaient restés des enfants débiles qui ne supportaient que du lait.

Ils n’avaient, ni la stature, ni force qui convenaient à leur âge.

Avec quel bonheur des parents accueillent un nouveau-né ! Mais si l’enfant ne se développe pas normalement, si son cerveau ou son corps restent ceux d’un bébé, quelle douleur inexprimable pour eux’!

Quelle joie, dans le ciel, lorsque la famille de Dieu est augmentée par la naissance d’une âme humaine !

Mais, comme le Père céleste doit souffrir de ce que tant de Ses enfants restent à l’état de nouveau-nés.

Cher ami, êtes-vous encore en enfance spirituelle, ou êtes-vous devenu adulte ? Pour répondre à cette question, il faut savoir d’abord ce qui caractérise un bébé.

Un bébé dépend entièrement d’autrui et s’attend à être le « centre de son petit monde ».

Il absorbe le temps et les soins de ceux qui l’entourent. Si tout va bien, il est content ; il sourit. Mais si on refuse d’accéder aux moindres de ses désirs, il a tôt fait de protester. Ces caractéristiques se retrouvent chez le chrétien charnel.

Dans Hébreux 5 : 12-14, Dieu nous montre que le chrétien charnel vit aux dépens de ses frères. Il devrait être capable d’enseigner, mais il a encore besoin qu’on lui « enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu ».

Il ne peut pas prendre de nourriture « solide », il lui faut du « lait ». Il est incapable de comprendre les choses profondes de Dieu et ne peut, par conséquent, en faire part à autrui. Pourquoi les chrétiens de Corinthe étaient-ils des « enfants » ? Paul nous le dit au début de la première lettre qu’il leur écrivit.

Ils se laissaient conduire par des hommes, estimant la sagesse humaine supérieure à celle de Dieu. Ils préféraient la paille au froment, essayant de se rassasier avec ce qui ne nourrit pas.

La plupart des chrétiens ne cherchent pas leur nourriture dans la Parole de Dieu, n’attendent pas du Saint-Esprit le « pain des forts ».

Ils s’adressent à des hommes, et absorbent sans contrôle tout ce qu’on leur donne. De tels chrétiens sont des parasites. Ils deviennent anémiques et débiles. Dans cet état de faiblesse, toutes les maladies de l’âme ont prise sur eux.

Ils sont une proie facile à la mauvaise humeur, à l’orgueil, à l’impureté, à l’égoïsme.

Ils transmettent à d’autres leurs maladies spirituelles, et c’est ainsi qu’on peut expliquer l’état lamentable des chrétiens de Corinthe.

Êtes-vous un enfant qui dépend de ses frères, ou un chrétien adulte que Dieu peut employer à Son Service ?

  1. C’est une vie stérile.

«Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche ; et tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde, afin qu’il porte encore plus de fruit». JEAN 15:2.

Le chrétien charnel n’exerce jamais qu’une mauvaise influence. Les inconséquences de sa vie l’empêchent d’amener des âmes à Christ. Il ne saurait donner de bons exemples aux autres chrétiens. C’est un sarment stérile.

  1. C’est une vie d’infidélité.

«Adultères que vous êtes ! Ne savez-vous pas que l’amour du monde est inimitié contre Dieu? Celui donc qui veut être l’ami du monde se rend ennemi de Dieu». JACQUES 4 : 4.

Ces paroles sont sévères. Dieu déclare que tout chrétien, qui est ami du monde, est ennemi de Dieu, et adultère. Pour donner à ces paroles leur sens véritable, il faut connaître exactement la signification du mot «monde ».

Ce qu’est l’Église pour Christ, le monde l’est pour Satan. Comme Christ agit sur terre par son Église, Satan agit par le « Monde ». Le monde, c’est la vie et la société humaines sans Dieu Quels doivent être les rapports du chrétien avec le monde ? Tout d’abord, quels rapports le chrétien a-t-il avec Jésus ?

Christ et le chrétien sont un. Leur union est si absolue que le Saint-Esprit compare leurs relations à celles qui existent entre deux époux. Il est naturel, dès lors, que Dieu ait déclaré que l’attachement au monde équivaut à un adultère spirituel.

Partager les plaisirs du monde, s’associer à ses œuvres, accommoder sa vie à ses principes, mettre à exécution son programme, font du chrétien le complice de Satan.

«N’aimez point le monde ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde l’amour du Père n’est point en lui :

Car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde». – 1 JEAN 2 : 15-16.

Le monde, c’est tout ce qui ne vient pas du Père. Ce qui n’est pas digne de la vie du Christ dans les cieux, n’est pas digne de la vie du chrétien sur la terre. Le « monde » c’est aussi la « convoitise de la chair », la « convoitise des yeux », et « l’orgueil de la vie».

Il se manifeste dans la toilette, la conversation, les distractions, les lectures, les amitiés, par nos désirs et par nos actions. La convoitise de la chair, c’est tout ce qui flatte la chair.

Toute concession faite à la mode, tout désir d’accumuler des biens, proviennent de la convoitise des yeux. Elle tient les regards fixés sur les choses temporelles. Tout ce qui exalte le « Moi », tout ce qui développe en nous l’orgueil, le désir de briller, tout ce qui détruit les nobles aspirations de l’âme, la fait ramper et l’empêche de prendre son essor, constitue « l’orgueil de la vie ».

Aimez-vous le monde et les choses qui sont dans le monde ? Si oui, vous êtes un chrétien charnel.

  1. C’est une vie d’hypocrisie.

«Autrefois, vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière». Eph. 5 : 8.

«N’êtes-vous pas charnels, ne marchez-vous pas selon l’homme ?» I COR. 3 : 3.

Le chrétien charnel dit une chose et en fit une autre. Sa conduite n’est pas conforme à son témoignage. Il vit comme ceux qui ne font pas profession d’être chrétiens, et n’a aucune puissance pour gagner des âmes à Christ.

  • Vous êtes-vous reconnu dans ce portrait ?

Êtes-vous un chrétien charnel ? Êtes-vous lassé par le combat humilié par la défaite, affligé de vos progrès insuffisants, attristé par la stérilité de votre vie, convaincu de votre infidélité, peiné par votre vie hypocrite ?

Il y a de l’espoir pour vous. Tournez-vous vers Dieu, demandez-Lui de briser les chaînes de cette vie charnelle, et de vous faire entrer dans la liberté glorieuse des enfants de Dieu.

Par : Ruth Paxton

 

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Le sept éléments essentiels pour grandir dans ta vie spirituel, plaire à Dieu et être utile à son royaume

Au cours des ans, j’ai remarqué un thème récurrent dans mes conversations avec d’autres croyants. Immédiatement après m’avoir dit qu’ils sont sauvés par Christ, ils concluent par ces paroles : « […] mais je sais que je n’ai pas grandi spirituellement autant que j’aurais dû. »

Combien il serait tragique pour des parents d’avoir des enfants qui vieillissent, sans jamais grandir, se fortifier et développer leurs habiletés! Nous saurions tous que quelque chose n’est pas normal. Toutefois, cela caractérise la vie spirituelle de nombreux chrétiens.

Ce qui est encore plus étonnant, c’est que certains d’entre eux ne sont pas conscients ni préoccupés de leur état. Imaginez si dimanche prochain, la stature des membres de votre Église révélait leur maturité spirituelle. Combien seraient même visibles sur leur siège?

Y aurait-il des géants debout dans l’assemblée?

Trop de chrétiens croient que recevoir le don du salut du Seigneur est l’objectif final : ils disent une prière, s’achètent une bible, puis traversent la vie comme si rien d’important n’était arrivé. Cependant, la nouvelle naissance, qui selon

Jésus marque le début de notre pèlerinage chrétien (Jn 3.3-8), suppose que la vie nouvelle s’accompagnera de croissance.

C’est un principe de base : tout ce qui est vivant croît, que ce soit dans le domaine physique ou spirituel.

La décision la plus sage que vous puissiez prendre est de fixer votre cœur, vos pensées et votre volonté sur un objectif : faire tout ce qui est nécessaire pour croître en Christ. Puis, quand le Seigneur vous confiera une tâche particulière, vous serez équipé et prêt à l’accomplir. Toutefois, si vous êtes toujours un enfant sur le plan spirituel, même si vous êtes préparé mentalement ou physiquement à assumer cette responsabilité, vous ne pourrez l’aborder avec une sagesse et un discernement bibliques. En fin de compte, c’est ce que Dieu vous demande.

LES ÉLÉMENTS ESSENTIELS À LA CROISSANCE CHRÉTIENNE

Il y a sept éléments essentiels pour faire des progrès spirituels, plaire à Dieu et être utile à son royaume. Dans la vie chrétienne, la croissance spirituelle devrait être la norme et non l’exception. Cependant, à cause de leur passivité, trop de croyants sont encore des enfants sur le plan spirituel. Le Seigneur ne nous oblige pas à mûrir, et le processus n’est pas automatique. Il nécessite des efforts dirigés de notre part. Chacune des sept disciplines exige que nous mourions à nos propres désirs, priorités, préférences et pensées.

Nous devons envisager la vie selon la perspective de Dieu, nous confier à ses tendres soins et obéir à ses commandements et aux incitations du Saint-Esprit. L’auteur de l’épître aux Hébreux explique que les croyants mûrs sont formés par l’exercice (Hé 5.12-14). Si nous mettons soigneusement en pratique ces éléments essentiels à la croissance spirituelle, avec le temps, nous connaîtrons les joies de la maturité.

  • Le salut.

La première exigence, et la plus évidente, est d’avoir une relation avec le Seigneur. Puisque nous arrivons tous dans ce bas monde spirituellement morts, la seule manière d’être vivants spirituellement consiste à naître de nouveau. Si vous avez vraiment connu la nouvelle naissance, le fruit d’une relation profonde avec Christ se verra en vous (Jn 15.4,5). Cependant, si après vous être considéré comme chrétien toute votre vie, votre caractère, vos attitudes, vos paroles et votre comportement

n’ont pas changé, il est temps de vous assurer que vous avez cru en Christ comme Sauveur.

Aussitôt que vous prenez cette décision, son Saint-Esprit vient vivre en vous et produit le fruit d’une vie spirituelle authentique (Ga 5.22,23).

  • L’Écriture.

Vous ne pouvez pas vous attendre à croître dans le Seigneur si vous ne lisez la Bible que le dimanche matin. Personne ne peut se développer en passant de longues périodes à ne manger qu’un repas par semaine; il en va de même pour la vie spirituelle. Vous avez besoin d’une ration quotidienne de la Parole, et je ne parle pas d’une collation sur le pouce. C’est une nourriture qui nécessite du temps pour être absorbée, pour transformer vos pensées, façonner votre caractère et vous motiver à obéir au Seigneur.

Dieu veut que vous examiniez l’Écriture par vous-même. Si vous éprouvez de la difficulté à comprendre la Bible, je vous conseille de continuer à la lire.

Vous avez un enseignant, le Saint-Esprit, qui vit en vous et qui vous guidera dans toute la vérité si vous le lui permettez (Jn 16.13). Cependant, en abandonnant trop tôt, vous l’empêchez d’ouvrir votre intelligence et de vous faire comprendre sa Parole.

  • La communion.

Le troisième élément pour croître spirituellement est la communion avec le Seigneur d’abord, puis avec les autres. Même si le salut ouvre la porte à une relation avec Dieu, la profondeur de votre communion dépend de votre désir d’être ouvert et honnête avec lui. Il veut que vous le considériez, non comme un Sauveur distant, mais comme un ami intime.

L’apôtre Pierre nous exhorte à croître « dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ » (2 Pi 3.18). Toutefois, vous n’apprendrez jamais à le connaître à moins que vous entreteniez une conversation profonde avec lui.

Communiquez-lui vos pensées et vos sentiments. Cultivez continuellement une vie d’honnêteté, de confession et de repentance. Nous devons aussi avoir une communion avec les autres. Nous avons tous besoin de quelques amis chrétiens à qui nous pouvons raconter ouvertement nos difficultés, nos épreuves et aussi nos bons moments (Ro 12.15).

À mesure que Dieu vous communique sa vie par l’Écriture et le Saint-Esprit, il veut que vous la transmettiez aux autres. Vous ne pouvez pas vivre comme un ermite et vous attendre à croître dans le Seigneur.

Jésus a conçu son Corps pour que ses membres soient solidaires en s’aidant, en se soutenant et en priant les uns pour les autres. Toutefois, si vous recevez sans jamais donner, vous stagnerez et cesserez de croître.

  • La souffrance.

Même si personne n’aime la souffrance, c’est l’un des outils de choix dont Dieu se sert pour nous faire croître spirituellement (Ja 1.2-4). Si vous en doutez, examinez votre propre vie. Avez-vous le plus grandi quand tout allait bien ou quand vous étiez aux prises avec des problèmes?

La plupart d’entre nous devront admettre que c’est lorsqu’ils étaient éprouvés. Durant les temps difficiles, nous recevons de nouvelles révélations du Seigneur et comprenons mieux sa Parole, et Dieu raffine notre caractère. Par exemple, comment pourrions-nous apprendre la patience si nous n’avions jamais à traverser des circonstances difficiles?

Ce que l’exercice physique accomplit pour fortifier le corps, la souffrance le fait pour façonner le caractère. Sans elle, nous serions des chrétiens faibles et adonnés aux plaisirs terrestres. Nous ne sommes pas au-dessus de notre Sauveur. Il a connu beaucoup de souffrances et, comme ses disciples, nous sommes appelés à cheminer sur la même route.

La clé de la croissance est de nous soumettre au Seigneur dans les épreuves pendant que nous cherchons à apprendre ce qu’il nous enseigne par l’affliction.

  • Le test de la foi.

Quand vous avez l’impression que Dieu vous demande quelque chose au-delà de vos capacités et de vos forces, c’est qu’il teste votre foi. Même si l’expérience est difficile, sans elle, vous ne grandiriez jamais. Comment votre foi en Dieu pourrait-elle

augmenter si elle n’était pas testée?

Quand une affliction est si douloureuse qu’il vous semble que Dieu ne se soucie pas de vous, vous devez décider de vous fier à vos émotions ou à l’Écriture qui proclame son amour infaillible. D’autres fois, le Seigneur peut vous demander de le servir en vous confiant une tâche qui dépasse vos capacités.

Quand il rejette toutes vos excuses et que vous avancez finalement en vous soumettant à lui, vous découvrez un Dieu qui est plus grand que toutes vos insuffisances. Même s’il peut y avoir une période d’apprentissage, tôt ou tard, vous comprendrez qu’il vous a formé pour que vous répondiez exactement à sa volonté pour votre vie.

  • La solitude.

Tout comme votre corps, votre âme a besoin de repos et de renouvellement. C’est pourquoi la solitude est essentielle à la croissance spirituelle. Certaines de vos plus grandes percées se réaliseront quand vous aurez appris à passer du temps seul avec le Seigneur.

Selon les apparences, rien ne s’y produit, mais l’oeuvre de Dieu est souvent invisible. Quand vous vous éloignez de la clameur du monde et apaisez votre âme, vous ressentez sa présence. Durant ces moments de solitude, il donne des aperçus de la relation intime qu’il offre à ceux qui font de l’Éternel leurs délices.

  • Le service.

Une partie essentielle de la croissance spirituelle consiste à pratiquer les bonnes oeuvres que Dieu a préparées d’avance pour nous (Ép 2.10).

Il nous a laissés sur la terre, non pour que nous vivions pour nous-mêmes, mais pour que nous servions le Seigneur en aidant notre prochain. Comme chrétiens, nous sommes appelés à imiter Jésus qui est venu pour servir et non pour être servi (Mt 20.28). Si vous ne vous souciez que de votre propre programme et que vous n’avez pas de temps à consacrer aux autres, vous êtes trop occupé pour croître en Christ.

En contact aout 2013, Charles  f.  Stanley.

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10 vérités bibliques sur la tentation et comment le vaincre

 

Nous pouvons définir la tentation comme un état, par lequel nous sommes attirés à pécher contre Dieu.

quelques vérités sur la tentation et comment le vaincre;

1) Dieu ne nous tente pas, mais il éprouve notre cœur.

L’épreuve est permise par Dieu dans notre vie pour tester notre caractère, et notre attachement à lui, et notre foi.

L’épreuve n’as pas comme but notre destruction, mais elle nous rend meilleur en nous révélant qui on est réellement, ce pourquoi l’épreuve a pour but de vérifier la valeur ou la qualité d’une chose ou d’une personne.

Jug 3:1 Voici les nations que l’Eternel laissa pour éprouver par elles Israël, tous ceux qui n’avaient pas connu toutes les guerres de Canaan.

Genèse 22:12 L’ange dit: N’avance pas ta main sur l’enfant, et ne lui fais rien; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique.

Jacques 1:13 Que personne, lorsqu’il est tenté, ne dise: C’est Dieu qui me tente. Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et il ne tente lui-même personne.

2) la tentation peut venir de deux source ; le diable et notre cœur.

Jacques 1:14 Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise.

Mt 4:3 Le tentateur, s’étant approché, lui dit : Si tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains.

BPVV : Voilà plutôt ce qui se passe : lorsque nous sommes tentés, ce sont les mauvais désirs que nous portons en nous qui nous appâtent, nous séduisent et nous entraînent.

BFC : En réalité, tout être humain est tenté quand il se laisse entraîner et prendre au piège par ses propres désirs ;

3) Quand le diable tente une personne il a toujours un objectif poursuivi.

Nombreux pense qu’ils sont parfois attaqué par le diable à cause de leur argent, leur ministère, ou leur mariage, mais en lisant la bible nous considérons qu’il en donne même à ceux qu’il tente, c’est à dire qu’Il ne vise pas ce que nous avons.

Mais il vise ceux que nous somme en Dieu, en tentât le diable vise trois chose.

  • Notre éternité, Une tentation vise notre éternité quand elle éloigne notre foi en Christ
  • Notre foi en Dieu, Certaine tentation vise la destruction de notre foi en Dieu, de notre confiance en Lui.
  • notre communion avec Dieu, La meilleur manière pour le diable de nous détruire ce ne pas d’abord attaqué notre mariage, mais nous éloigné de Dieu, avant tué Samson, Délila a coupé d’abord l’alliance de Samson avec Dieu. Le diable ne vise pas d’abord notre argent, nos voiture, notre joie mais elle vise d’abord la source de notre argent, joie… c’est-à-dire la communion avec Dieu.

Une foi la communion brisée nous devenons de proie sans défense dans les mains de l’ennemi, le diable peut alors détruire notre vie et cela de trois manière;

1 Chroniques 21:1 Satan se leva contre Israël, et il excita David à faire le dénombrement d’Israël.

4) toute tentation doit tenter.

La tentation est comme un piège, pour qu’elle atteigne ses objectifs elle doit attirer. Tu ne seras jamais tenté par ceux qui ne t’attire pas, le but d’un piège est d’attire par l’appas.

Ce quand Christ a faim que le diable lui propose le pain (Mat 4 :1-4)

Ce quand il était seul, que David a vu une femme belle et nue (2 Sam 11 :1-27)

Josué 7:20-21 Acan répondit à Josué, et dit: Il est vrai que j’ai péché contre l’Eternel, le Dieu d’Israël, et voici ce que j’ai fait.

J’ai vu dans le butin un beau manteau de Schinear, deux cents sicles d’argent, et un lingot d’or du poids de cinquante sicles; je les ai convoités, et je les ai pris; ils sont cachés dans la terre au milieu de ma tente, et l’argent est dessous.

BFC : Akan lui répondit: <<Oui, c’est moi qui ai péché contre le Seigneur, Dieu d’Israël. Voici ce que j’ai fait:

J’ai vu dans le butin un magnifique manteau de Mésopotamie, deux cents pièces d’argent et un lingot d’or d’une livre. J’en ai eu tellement envie que je les ai pris. Vous les trouverez enterrés à l’intérieur de ma tente, l’argent est dessous. >>

1 Timothée 6:9 Mais ceux qui veulent s’enrichir tombent dans la tentation, dans le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition.

 5) être tente ne veux pas dire péché, on peut être tente sans péché.

Christ a était tenté au désert sans péché, Joseph a était tente par la femme de Potiphar sans péché.

Chaque personne a une chose qui il y est exposé, il devient un sujet de tentation. Si ceux qui feras tombé David est la femme d’Urie, ceux qui feras tombé Jéroboam ce le pouvoir.

La tentation ne pas seulement sexuel, il en existe de toute sorte.

Hébreux 4:15 Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché.

Jacques 1:14-15 Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché; et le péché, étant consommé, produit la mort.

BPV : Chacun est poussé au mal par son désir mauvais qui l’attire et l’entraîne. Et quand on laisse faire ce désir, il donne naissance au péché. Puis, quand le péché a grandi, il donne naissance à la mort.

6) dans la vie, il y a de moment de tentation.

Ce ne pas à chaque instant qu’on voit BATH-SCHÉBA se lave nue.

2 Samuel 11:2 Un soir, David se leva de sa couche; et, comme il se promenait sur le toit de la maison royale, il aperçut de là une femme qui se baignait, et qui était très belle de figure.

Lu 8:13 Ceux qui sont sur le roc, ce sont ceux qui, lorsqu’ils entendent la parole, la reçoivent avec joie; mais ils n’ont point de racine, ils croient pour un temps, et ils succombent au moment de la tentation.

Luc 4 :13 Après l’avoir tenté de toutes ces manières, le diable s’éloigna de lui jusqu’à un moment favorable.

7) Il n’existe aucun niveau de grâce, d’onction, d’intimité ou de connaissance qui nous préservera de la tentation.

Bien qu’il était le fils de Dieu, supérieur en grâce en onction et en connaissance il a était tenté.

Matthieu 4 :1 Alors Jésus fut emmené par l’Esprit dans le désert, pour être tenté par le diable.

8) Certaine tentation se trouve dans l’excès de certaine pratique.

Certaines choses ne sont pas mauvaises en soi dans leur pratique, mais elle devient une tentation car elle amène toujours à l’excès.

Ce pour cela vous remarquerez certaine chrétien ont des interdits personnels, Simplement parce que l’Esprit veut le protège d’un certain excès,

Juges 2:3 J’ai dit alors: Je ne les chasserai point devant vous; mais ils seront à vos côtés, et leurs dieux vous seront un piège.

9) En Christ aucune tentation n’est insurmontable.

L’Esprit de vie qui est Christ nous a affranchies de la servitude du péché, c’est-à-dire si païen je n’arrive à résiste face à une tentation, maintenant en Christ nous avons la force par l’Esprit de vivre selon Dieu.

1Co 10:13 Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces; mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter.

BFC : Les tentations que vous avez connues ont toutes été de celles qui se présentent normalement aux hommes. Dieu est fidèle à ses promesses et il ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces; mais, au moment où surviendra la tentation, il vous donnera la force de la supporter et, ainsi, le moyen d’en sortir.

Ces verset nous dit quatre choses;

  • toute tentation qui nous arrivera est humaine
  • Dieu ne permettra jamais qu’on soit tenté au-delà de nos forces
  • Dieu donne la force de résiste a ceux qui sont décidé de ne pas péché quand ils sont tente.
  • dans Chaque tentation qui nous arrivera Dieu préparera le moyen d’en sortir

10) pour pouvoir résister à la tentation, il nous faut deux chose ;

Marc 14:38 Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.

  • la prière

Matthieu 6:13 ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c’est à toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen!

BFC : Et ne nous expose pas à la tentation, mais délivre-nous du Mauvais.

[Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire, pour toujours. Amen.]>

La prière nous donne la force nécessaire pour surmonter les tentations, par la prière notre homme intérieur est fortifié pour la tentation.

Les hommes qui tombent souvent dans la tentation son ceux qui n’néglige de fortifié leur être spirituel.

  • la discipline

Même si l’on prie beaucoup, vaincre la tentation ce fuir toute les circonstances qui favorises la tentation.

Psaumes 1:1 Heureux l’homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, Qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs,

 1 Corinthiens 7:5 Ne vous privez point l’un de l’autre, si ce n’est d’un commun accord pour un temps, afin de vaquer à la prière; puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence.

  • la bible demande deux attitudes face à la tentation, la résistance et la fuite

La résistance est recommandée pour résister  tous les péchés dans la bible sauf à l’impudicité, quand il s’agit de l’impudicité la bible dit fuyez.

Selon la bible ceux qui vainc l’impudicité sont ceux qui fuit l’impudicité, Joseph n’était pas resté devant la femme de Potiphar pour résister, il a fui et il a gagné ce bataille.

1 Corinthiens 6:18 Fuyez l’impudicité. Quelque autre péché qu’un homme commette, ce péché est hors du corps; mais celui qui se livre à l’impudicité pèche contre son propre corps.

Jacques 4:7 Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous.

que Dieu vous bénisse, Didier

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Le mariage, pourquoi je ferais un bon choix

Je suis arrivé à un moment de ma vie ou je dois faire un choix, le choix le plus important après celui de mon éternité, le choix de la personne avec qui je partagerai ma vie. Je suis si conscient de combien ce choix est important, pour moi, ma foi, et même mon ministère.

 Ignoré l’impact que peux avoir une épouse, ou un époux dans une destine, ce t’ignoré même le but du mariage.

Un Jour j’ai entendu un homme dire à ses enfants : si je suis comme ça (soulard et …) c’est à cause de votre mère, ne vous mariez jamais dans le tribut de votre mère.

La bible n’a-t-elle pas dit : qu’Une femme vaillante fait la fierté de son mari. Une femme indigne est comme un cancer qui ronge les os. (Prov 14 :4 BFC)

Je n’écris pas ces mots comme un spécialiste ou comme une personne qui en connais sur le mariage mais plutôt comme quelqu’un qui est arrivée à un moment de la vie ou certains choix deviennent indispensable.

Je n’écrits pas non plus ces mots pour montre des recettes magiques pour faire un bon choix, d’ailleurs je ne l’ai pas encore fait… mais si j’ai écrits ces mots, ce pour toi, toi qui comme moi sommes dans ses périodes de la vie ou le choix de la personne avec qui on partageras la vie devient une préoccupation, le but de ces articles est de nous montre qu’il est possible de faire le bon choix, en se basant sur Dieu et certaines principes bibliques

Alors pourquoi, moi Didier, je dis que je ferais le bon choix, je le dis à cause de Dieu, la connaissance que j’ai de moi-même, et la connaissance de ceux j’attends et je veux d’une femme.

  1. A cause de Dieu

Aujourd’hui deux principaux pensées circulent dans le milieu chrétien certains affirment que Dieu ne peut jamais aider une personne à faire le choix d’une ou d’un conjoint, ils disent que se a l’homme de faire le choix et de le présenté à Dieu, d’autres pourtant affirment le contraire.

Le premier pilier sur lequel je compte pour faire le bon est Dieu, peut importer ceux qui est dit par nos leaders spirituels, peut importer la coutume et le mode moi je compte sur Dieu et sa parole et je sais qu’il ne me décevra jamais. La bible dit, Ne vous coulez pas simplement dans le moule de tout le monde. Ne conformez pas votre vie aux principes qui régissent le siècle présent ; ne copiez pas les modes et les habitudes du jour. Laissez-vous plutôt entièrement transformer par le renouvellement de votre mentalité.

Adoptez une attitude intérieure différente. Donnez à vos pensées une nouvelle orientation afin de pouvoir discerner ce que Dieu veut de vous. Ainsi, vous serez capables de reconnaître ce qui est bon à ses yeux, ce qui lui plaît et qui vous conduit à une réelle maturité. (Rom 12 :2 BPVV)

Ps 84:6 (BS) Bienheureux les hommes dont tu es la force : dans leur cœur, ils trouvent des chemins tracés.

  • Voilà trois vérités sur Dieu et les choix de notre conjointes et conjoints.

a) Dieu est intéressé par tous ceux qui nous touches car nous avons du prix à ses yeux.

Esaïe 43 :1-4 Ainsi parle maintenant l’Eternel, qui t’a créé, ô Jacob ! Celui qui t’a formé, ô Israël ! Ne crains rien, car je te rachète, Je t’appelle par ton nom : tu es à moi !

Si tu traverses les eaux, je serai avec toi ; Et les fleuves, ils ne te submergeront point ; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, Et la flamme ne t’embrasera pas. Car je suis l’Eternel, ton Dieu, Le Saint d’Israël, ton sauveur ; Je donne l’Egypte pour ta rançon, L’Ethiopie et Saba à ta place.

Parce que tu as du prix à mes yeux, Parce que tu es honoré et que je t’aime, Je donne des hommes à ta place, Et des peuples pour ta vie.

le mariage est tellement important dans une vie et dire que Dieu ne s’en préoccupe sa serai même touché a son amour, vous savez dans ma marche avec LUI, il m’a parfois dit certaines choses sur des choses peut important que le mariage et je lui fais confiance dans le choix de ma future femme.

je me souviens quand j’ai commence a prié pour le choix, il m’a posé une question qui m’a montre combien lui aussi est impliqué a ce que je fasse un bon choix et que je sois une bénédiction pour la personne qui viendra.

b) Dieu nous guide dans sa volonté, il ne nous l’impose pas

Deutéronome 30 :19 J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité,

Dieu ne nous impose jamais son choix ou sa volonté pour nous mais il l’a présente devant nous, alors il nous appartient soit à suivre cette volonté soit à suivre notre propre volonté. Sachez que

La volonté de Dieu est la meilleure pour nous, car elle est complète, est basée sur des très bonnes informations.

La volonté de Dieu ne seras pas forcement plaisant,

La volonté de Dieu ne sera pas forcément facile,

La volonté de Dieu ne pas forcement extraordinaire.

c) Oui, Dieu peut guide une personne vers la bonne femme

Et cela pas forcement par une vision, ou une prophétie mais parfois comme la bible le dit Dieu parle parfois d’une manière ou d’une autre. Et souvent nous les enfants de Dieu nous ignorons le langage de circonstances.

Proverbes 19 :14 On peut hériter de ses pères une maison et des richesses, Mais une femme intelligente est un don de l’Eternel.

Proverbes 18 :22 Celui qui trouve une femme trouve le bonheur ; C’est une grâce qu’il obtient de l’Eternel.

Un don est l’action d’accorder,  de donner gratuitement a quelqu’un quelque chose ou  Ce qu’on donne à qqn sans rien recevoir de lui en retour. Il est la traduction du mot grec « dôrea » Qui veut dire un présent gratuit, un cadeau offert sans attendre quoi que ce soit en retour.

Un don suggère deux choses la gratuite et la jouissance de voir quelqu’un possédé ce qu’on lui a donné. Quand Dieu nous fait ce don gratuitement, il vise notre épanouissement, et il est réjoui de nous voir possédé ce qu’il nous donne.

Alors si tu veux faire le bon choix se simple, il faut avoir Dieu comme allier… et moi je dis que je ferai le bon choix a cause de ma foi en mon Dieu et je sais que je ne me tromperai pas.

nous continuerons la suite après pour parlé du deuxième point : la connaissance que j’ai de moi-même mais bien avant essayons d’abord de définir ce quoi faire un bon choix.

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7 principes biblique pour vaincre la masturbation (4/4)

 A quoi servirai ses notes (série) si elle ne montre pas d’une manière pratique comment s’en sortir, les conseils que je donnerai ci-dessous sont ceux de celui qui autres fois était dans ses vis, et je pense qu’ils vous aideront à vaincre la masturbation.

Voici en sept points mes conseils pour enfin se débarrassé de la masturbation;

  1. Le reconnaitre que la masturbation est une mauvaise chose et nuit à votre communion avec Dieu.

Tout personne qui viens de se masturber vous dira combien il se sent sale devant Dieu, si réellement il a le Saint-Esprit.

1 Jean 3 :20 car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses.

Reconnaitre que la masturbation est une mauvaise chose est la première de chose à faire pour celui qui désir en être guéris, mais aussi être conscients de combien cela nui à votre communion avec Dieu et être décide restauré cette communion.

lire l’integralite du message ici

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pourquoi Jésus Christ est-il venu dans ce monde ?

Notre deuxième question concerne la raison pour la qu’elle Christ était venu dans ce monde ?

  • Faire la volonté de son Père

Jésus Christ est venue pour faire la volonté de Dieu le Père, la première de chose qu’il est venue faire était la volonté de son Père.

Jean 6:38-40 car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. Or, la volonté de celui qui m’a envoyé, c’est que je ne perde rien de tout ce qu’il m’a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour.

La volonté de mon Père, c’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.

Hébreux 10:5-9 C’est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit: Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m’as formé un corps;

Tu n’as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché. Alors j’ai dit: Voici, je viens Dans le rouleau du livre il est question de moi Pour faire, ô Dieu, ta volonté.

Après avoir dit d’abord: Tu n’as voulu et tu n’as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu’on offre selon la loi,

Il dit ensuite: Voici, je viens Pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde.

 

BFC : C’est pourquoi, au moment où il allait entrer dans le monde, le Christ dit à Dieu:

<<Tu n’as voulu ni sacrifice, ni offrande, mais tu m’as formé un corps. Tu n’as pris plaisir ni à des animaux brûlés sur l’autel, ni à des sacrifices pour le pardon des péchés.

Alors j’ai dit: <Je viens moi-même à toi, ô Dieu, pour faire ta volonté, selon ce qui est écrit à mon sujet dans le saint livre. >>

Il déclare tout d’abord: <<Tu n’as voulu ni sacrifices, ni offrandes, ni animaux brûlés sur l’autel, ni sacrifices pour le pardon des péchés, et tu n’y as pas pris plaisir. >> Pourtant, ces sacrifices sont offerts conformément à la loi.

Puis il ajoute: <<Je viens moi-même pour faire ta volonté. >> Il supprime donc les anciens sacrifices et les remplace par le sien.

C’était quoi la volonté du Père ? 

Hébreux 10:10 C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes.

La volonté de Dieu était de sauve les hommes du péché, l’homme était perdu loin de Dieu a causes du péché, alors sa volonté était de le rapprocher près de lui, sa volonté n’était pas que l’homme sois perdu pour l’éternité mais qu’il soit sauvé et qu’il soit près de lui pour l’éternité.

Voilà pourquoi Christ est venue, Christ est la solution de Dieu face à la misère du monde, il est l’expression de l’amour et de la volonté divine au monde.

Christ n’était pas venue d’abord nous apporté une religion, il n’était pas venue pour que nous allions à l’église, ou pour que nous ayons d’abord la bonne santé ou le mariage … mais si il était venue c’était pour nous réconcilié par sa mort avec le Père.

Voilà la bonne nouvelle de Dieu a l’humanité,  

Hébreux 10:10 C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes.

Jean 3:16 Car Dieu a tellement aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.

  • Il était venue nous donné un Dieu, et nous faire entre dans son alliance

Au moyen âge chaque peuple avait ses dieux, le cas de pharaon en Egypte, de baal en Babylone, nous aussi nous avions nos dieux, chaque dieux agissait à l’intérieur de son peuple sa sphère d’action était considérée comme limitée.

Par opposition à toutes les autres nations Israël était le seul  à avoir le vraie Dieu, les autres peuples de la terre adorent des vaines idoles, en lisant la bible nous comprenons que ce ne pas Israël qui avait choisi Dieu, mais ce Dieu qui le avait choisi et cela ce par grâce avec comme but de se faire révèle aux autres peuple par eux.

Ephésiens 2:11-13 C’est pourquoi, vous autrefois païens dans la chair, appelés incirconcis par ceux qu’on appelle circoncis et qui le sont en la chair par la main de l’homme, 2-12 souvenez-vous que vous étiez en ce temps-là sans Christ, privés du droit de cité en Israël, étrangers aux alliances de la promesse, sans espérance et sans Dieu dans le monde.

Mais maintenant, en Jésus-Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ.

BPVV : Ne perdez pas de vue votre ancienne condition! Rappelez-vous que, de naissance, vous qui n’êtes pas des Juifs, vous étiez traités « d’incirconcis » par ceux qui se disent « les circoncis » à cause d’un rite extérieur accompli sur eux.

Souvenez-vous qu’à cette époque, lorsque vous viviez sans le Christ, vous n’aviez aucune part aux droits du peuple élu de Dieu, vous étiez tenus à l’écart des alliances basées sur les promesses (faites à Israël).d Vous n’aviez donc rien à attendre de l’avenir, aucun moyen d’accéder auprès de Dieu. Vous viviez sans espérance et sans Dieu dans ce monde.

Mais maintenant, par votre union avec Jésus-Christ, vous qui étiez autrefois « les éloignés », vous êtes devenus « des proches parce que le Christ a versé son sang pour vous et vous a introduits, avec nous, dans la sphère de l’amour de Dieu.

  • Il était venue nous donné un exemple

En venant sur la terre Christ avait une autre mission qui était de nous montrer nous fils, par sa vie, comment nous devrions vivre avec le Père dans cette relation de fils et comment nous devrions vivre sur la terre dans cette identité de fils que nous avons acquis en Lui.

De la même manière que Christ sur la terre vivait comme fils de Dieu de la même manière nous aussi nous vivons aujourd’hui comme des fils du Dieu vivant, avant de partir il avait dit <Je monte vers mon Père. Il est aussi votre Père. Je monte vers mon Dieu. Il est aussi votre Dieu.> »

Jean 1:12 Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu,

Alors étant fils de Dieu nous ne devons pas vivre n’importe comment, mais nous devrions vivre selon le modelé que Christ nous a montré. Car toute sa vie était un model a imite pour nous ses frères.

Il avait vécu sur la terre comme fils de Dieu sans pourtant commettre un seul péché, cela nous montre qu’aujourd’hui il est possible de vivre dans la nouvelle vie qu’il nous a donné (quand nous avons cru à Lui) sans commettre aucun péché, malgré que personne n’y arrive.

Il avait vécu sur la terre comme fils de Dieu en manifestant la nature de la vie qui était en lui, il avait guérit le malade, ressuscite les morts… la bible dit qu’il était la lumière des hommes.

En nous comme en Christ il y a la même vie, pas la vie d’un homme mais la vie de Dieu. En nous, nous portons la vie du créateur de cieux et la terre, du Dieu redoutable de la bible. En nous il y a une vie que rien sur cette terre ne peut arrêter, une vie qui est lumière des autres.

La même vie de Dieu qui était avec Christ et par qui il a impacté et éclaire les temps se trouve en nous, pas en partie mais dans toute sa plénitude.

Cette vie ne pas simplement une vie pleine de puissance, de connaissance; elle est aussi pleine d’amour, pleine de grâce, de sagesse.

Et en tant que fils et filles du très haut nous devons soupirer a exprimé cette vie que le Saint-Esprit donne à tous enfants de Dieu de manifesté sur cette terre, car ce par cette vie que nous montrons notre nature, ce par cette vie que l’on sait réellement que nous sommes des enfants de Dieu.

Cette vie ce la vie de Dieu et si nous la possédons nous devons manifester la partout où nous serons, comme Christ. Car en manifestant cette vie nous serons entrain de montre au monde que Dieu existe et qu’il s’intéresse à nous humains et surtout qu’il est celui que nous servons et nous portons.

à la Une

La puissance du sang de Jésus-Christ et comment l’appliquer

La puissance du sang de Jésus-christ est aussi importante pour votre vie intérieure que la parole de Dieu elle même. La plupart des enfants de Dieu croient en la puissance de réconciliation, de purification, et de délivrance du précieux sang de Christ, mais seul un petit nombre d’entre eux semble en connaître son application, quelle que soit leur profession de foi.

L’expérience m’a montré que même des bergers manquent souvent de compréhension à ce sujet, et pour le moins, ils n’en parlent que très peu.
Pour nous, celle-ci est aussi importante pour l’esprit, l’âme et le corps que notre nourriture, le travail et le sommeil. Tout comme nous croyons que Jésus-Christ a donné son précieux sang en sacrifice pour notre péché, pour notre réconciliation, notre purification et notre entière délivrance, de même nous pouvons utiliser la puissance de son sang en divers cas nécessité, dans les tentations de toutes sortes, contre les puissances de maladie et des ténèbres, contre le diable et les démons.

ELLE EST UNE PUISSANCE LIBÉRATRICE, DE VICTOIRE, DE GUÉRISON, DE PROTECTION.

Tout comme l’air qui nous entoure, la puissance du sang de Christ nous entoure aussi comme d’un manteau. Elle est une puissance en soi, mais elle agit en concours avec la puissance du Saint-Esprit, les deux étant inséparables.

  • POUR QUELLE RAISON ?

Si un homme est touché et réveille par la prédication de la parole de Dieu, lorsqu’elle est annoncée dans la puissance du Saint-Esprit, il sera en premier lieu confondu et humilié à cause de sa vie de péché, ce qui l’amène au pied de la Croix de Christ. Là , il lui sera montré que son expiation se trouve dans le sang du Christ. Puis, le désir de devenir pur sera réveillé en lui pour qu’à l’avenir il puisse marcher, par la grâce de Dieu, de manière irréprochable dans la nouvelle vie.

S’il est né de nouveau, c’est par la puissance du sang de Christ que le chemin qui mène à la sanctification pratique, sera montré à ce chrétien par le Saint-Esprit. Ce dernier attire aussi son attention sur la nécessité du baptême de l’Esprit. Mais la puissance du sang de Christ est primordiale .

Par les mérites du sang de Christ, l’homme spirituel reçoit sa vraie identité. Lorsque ce précieux sang et le Saint-Esprit opèrent ensemble, le Seigneur Jésus est sur son terrain, et la puissance divine agit par Lui pour notre bénédictions et celles des autres.

Des âmes sincères m’ont souvent demandé comment fallait appliquer la puissance du sang de Christ. En effet , les instructions justes sont rares, et même elles ne sont pas toujours comprises correctement ou mal appliquées pas un manque de foi.
J’étais aussi de ceux qui voulaient savoir comment on doit l’appliquer. Dès que j’avais compris la manière la plus simple de procéder, mon étonnement fut grand de voir l’effet que cela produit. J’étais ému et convaincu de la puissance du sang de Christ.

Mais comment est-elle opérante ?

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Ce qu’« être soumise » veut dire (2)

pour une meilleure comprehension de cet message lisez d’abord ce que la soumission ne pas

Ce qu’« être soumise » veut dire

Femmes, que chacune soit de même soumise à son mari, afin que, si quelques-uns n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leur femme, en voyant votre manière de vivre chaste et respectueuse.

Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d’or, ou les habits qu’on revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptible d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu. Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leur mari, comme Sara, qui obéissait à Abraham et l’appelait son seigneur.

C’est d’elle que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte.
Maris, montrez à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec votre femme, comme avec un sexe plus faible; honorez-la, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu’il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières (1 Pierre 3.1-7).

Ce qu’« être soumise » veut dire

a. La soumission est une qualité de douceur intérieure qui soutient le leadership du mari

« Que chacune soit soumise à son mari » signifie qu’une femme se soumet volontairement à l’autorité et au leadership de son mari dans le mariage, dans les limites de l’obéissance au Christ. La femme doit donc honorer son mari comme responsable même si elle est en désaccord avec lui.
Une compréhension plus profonde de la nature de cette soumission est donnée par la description que Pierre fait de la beauté qui l’accompagne, « l’esprit doux et paisible qui est d’un grand prix devant Dieu » (3.4). L’adjectif « doux » ne se trouve qu’à trois autres endroits dans le N.T. dont deux fois en référence à Christ (Mat 11.29 ; 21.5).

Il signifie : n’insistant pas sur ses droits, pas exigeant, ne s’imposant pas égoïstement. Un tel état d’esprit brillera devant les hommes, même les conjoints incrédules (3.2), mais, plus important encore, devant Dieu.

Sans doute parce que cet état d’esprit est le résultat d’une confiance tranquille et continue en Dieu qui répondra aux besoins. Et Dieu se réjouit qu’on lui fasse confiance.
Pierre se concentre sur les attitudes intérieures du cœur. La « parure intérieure », c’est la nature profonde, la vraie personnalité de l’épouse. Elle n’est pas visible en elle-même mais se fait rapidement connaître par des paroles et des actes qui révèlent l’attitude intérieure.

b. La soumission implique une obéissance comme celle de Sara

On a essayé d’éviter de conclure que les femmes chrétiennes d’aujourd’hui devaient imiter l’obéissance de Sara vis-à-vis d’Abraham, que Pierre donne en exemple des « saintes femmes d’autrefois ».
En Genèse 21.11-12, Dieu demande à Abraham d’écouter ce que Sara lui dit. Dieu a utilisé ici Sara pour faire connaître à Abraham sa volonté, mais cela n’établit pas en soi une règle générale pour conduire les hommes à obéir à leurs femmes.
Bien que Sara n’ait pas toujours été un modèle, Pierre a choisi de ne pas insister là-dessus et de la prendre comme exemple positif.

c. La soumission accepte une autorité qui n’est pas totalement réciproque

Les féministes évangéliques parlent fréquemment de « soumission mutuelle » dans le mariage.

Si par là on veut dire que maris et femmes doivent être attentionnés et pleins de considération l’un pour l’autre et placer les intérêts et les préférences de l’autre avant les siens, c’est totalement cohérent avec les enseignements du N.T.

Il y a bien soumission mutuelle dans un certain sens dans un mariage, mais pas dans tous les sens parce que la femme doit se soumettre à l’autorité et au leadership de son mari d’une façon dont le mari n’a pas à — en fait ne devrait pas avoir à — le faire. Il a un rôle de leadership unique dans la famille qu’il ne doit pas abdiquer.


Le mot grec pour « être soumis » implique toujours une relation de soumission à une autorité. Il est utilisé ailleurs dans le N.T. pour la soumission de Jésus à l’autorité de ses parents (Luc 2.51), des démons aux disciples (Luc 10.17), des citoyens au gouvernement (Rom 13.1), de l’Église à Christ (Éph 5.24), des chrétiens à Dieu (Héb 12.9), etc. Aucune de ces relations n’est réciproque.


Maintenant nous devons reconnaître que la soumission à ces différentes sortes d’autorités peut prendre des formes très différentes. La soumission des membres d’une église à leurs anciens est très différente de celle des soldats à leur général.

Dans le cadre d’un mariage chrétien harmonieux, il y a une large place pour la consultation mutuelle, la recherche de la sagesse de l’autre et la plupart des décisions se prennent par consensus entre les conjoints. Pour une femme, se soumettre à son mari n’impliquera pas souvent obéir à un ordre formel (bien que cela puisse être parfois le cas), car le mari fera plutôt une demande et cherchera un avis sur la conduite à tenir (cf. 2 Cor 8.8 ; Phm 8-9).

Wayne Grudem est un théologien évangélique américain, auteur de nombreux ouvrages, qui a enseigné dans plusieurs facultés de théologie. Il est le cofondateur du Conseil pour une masculinité et une féminité biblique. 

Ce qu’« être soumise » ne veut pas dire

Partie 1 : Ce qu’« être soumise » ne veut pas dire

Femmes, que chacune soit de même soumise à son mari, afin que, si quelques-uns n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leur femme, en voyant votre manière de vivre chaste et respectueuse.

Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d’or, ou les habits qu’on revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptible d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu. Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leur mari, comme Sara, qui obéissait à Abraham et l’appelait son seigneur.

C’est d’elle que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte.
Maris, montrez à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec votre femme, comme avec un sexe plus faible; honorez-la, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu’il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières (1 Pierre 3.1-7).

Voici un magnifique texte pour comprendre le plan de Dieu pour un mariage idéal. En quelques versets, Pierre décrit les responsabilités complémentaires des maris et des femmes et met en garde contre des abus courants.

Ce qu’« être soumise » ne veut pas dire

Parce que beaucoup ne comprennent pas ce que la Bible veut dire quand elle demande aux femmes d’être « soumises » à leurs maris, ce texte est très utile pour corriger de mauvaises compréhensions et des comportements incorrects.


a. La soumission ne veut pas dire mettre son mari à la place de Christ :

Le contexte général présuppose que l’allégeance au Christ a priorité sur toute allégeance humaine (cf. 2.13). Par-dessus tout, la vie chrétienne consiste à regarder à Christ et à suivre ses traces (2.21).

b. La soumission n’implique pas d’abandonner toute pensée indépendante :

Pierre s’adresse directement aux épouses et non aux maris pour qu’ils transmettent à leurs femmes ce qu’il dit.

Pierre présuppose qu’elles écouteront, réfléchiront et répondront à la Parole de Dieu elles-mêmes. Plus encore, Pierre sait que certaines femmes ont choisi Christ alors même que leurs maris ne l’ont pas fait et que c’était bien pour elles.

Elles ont réfléchi au sujet le plus important dans la vie en s’affranchissant de la façon de penser de leurs maris.


c. La soumission ne veut pas dire qu’une femme ne doit pas faire des efforts pour influencer et guider son mari pour qu’il devienne chrétien.


d. La soumission ne signifie pas qu’une femme doive acquiescer à toute demande de son mari :

Si ce dernier lui demande d’agir contrairement à l’enseignement moral clair de l’Écriture, elle doit refuser, suivant ainsi l’exhortation de Pierre d’avoir une bonne conduite parmi les païens (2.12) ; ainsi elle restera « pure » (3.2).


e. La soumission n’est pas basée sur des compétences ou une intelligence inférieures :

De fait, lorsqu’une femme se convertit et non son mari, elle démontre une perception spirituelle plus grande que lui : elle a perçu la vérité du christianisme et pas lui.


f. La soumission n’implique pas d’être craintive ou timide :

Pierre demande aux épouses de ne se « laisser troubler par aucune crainte » (3.6). Donc la référence à la « faiblesse » (3.7) ne peut être liée à un manque inné de force ou de courage en face du danger.


g. La soumission n’est pas incohérente avec l’égalité en Christ :

La soumission peut tout à fait aller de pair avec l’égalité en importance, en dignité ou en honneur. Les chrétiens qui sont très honorés aux yeux de Dieu, doivent se soumettre à des maîtres ou des gouvernants incrédules (2.18).

Dans un couple chrétien, les deux sont héritiers de la grâce de la vie (3.7) — ce qui est la façon pour Pierre de dire la même chose que Paul en Galates 3.28

Wayne Grudem
un théologien évangélique américain, auteur de nombreux ouvrages, qui a enseigné dans plusieurs facultés de théologie. Il est le cofondateur du Conseil pour une masculinité et une féminité biblique.